Top 21 Poeme Pour Les Parents The 10 Top Answers

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Comment dire merci aux parents ?

Il est maintenant temps de les remercier tous les deux :
  1. Merci de m’avoir donné la vie.
  2. D’avoir eu la patience de m’apprendre à marcher, parler pour me permettre de vivre pleinement chaque instant.
  3. De m’avoir appris à surmonter mes peurs et d’être là quand cela est nécessaire.

Comment dire je t’aime à ses parents ?

Dites-leur que tout le monde dans la famille les aime. Essayez de leur dire qu‘ils ne sont pas seuls, que vous êtes avec eux et que vous les aimez. Ne parlez pas de quelque chose qui va les mettre en colère ou les blesser, même si cela concerne vos propres sentiments.

Comment écrire une lettre pour mes parents ?

Maman, merci de m’avoir enseigné d’être une femme forte et de m’avoir appris à ne pas me laisser marcher sur les pieds. Papa, merci de m’avoir appris que ce n’est pas grave si les choses ne vont pas comme je le veux et merci de m’avoir appris qu’il faut travailler très fort si on désire obtenir ce que l’on veut.

Comment dire je t’aime ma famille ?

Moi, la mère de cette famille, je ne peux qu’être fière de ce clan que nous formons. À toi le beau-papa-qui-vit-à-distance, je veux te dire MERCI. Merci de nous aimer, mes enfants et moi, tels que nous sommes. Merci d’être là pour nous, nous écouter, nous épauler, nous aider.

Comment remercie ma mère ?

5 façons de remercier sa mère
  • Prendre le temps. La vie va vite et on remet souvent des choses au lendemain. …
  • Dire je t’aime. À l’ère des téléphones intelligents, on s’écrit beaucoup mais on se parle peu. …
  • Parler de vos souvenirs. Te souviens-tu la fois que…? …
  • Regarder des photos. …
  • Organiser une journée spéciale juste vous deux.

Comment remercier ses parents dans un mémoire ?

« C’est avec une joie immense et le cœur ému que je dédie ce mémoire (ou cette thèse) à mes chers parents (ou à ma défunte mère ou défunt père) pour son (leurs) affection(s) inépuisable(s) et son (leurs) précieux conseil(s). Ils n’ont cessé de prier pour moi durant mon cursus scolaire et m’ont encouragé régulièrement.

Pourquoi on aime ses parents ?

Aimer ses parents, pour moi, c’est essentiel. Cela vous permet d’augmenter votre amour et votre estime de vous-même. La première étape, c’est déjà de les remercier pour le fait d’être en vie.

Comment prouver son amour à sa mère ?

5 Superbes Façons de Montrer à Ta Maman Que Tu L’Aimes
  1. Prends-la dans tes Bras. Voilà un geste tout simple qui en dit beaucoup. …
  2. Déclare-lui ton Amour ! Depuis quand n’as-tu pas dit à ta maman que tu l’aimes ? …
  3. Rends-lui Service. giphy.com. …
  4. Du Temps à Deux. …
  5. Un Petit Cadeau bien Choisi.

Comment finir une lettre à ses parents ?

– Je vous prie de croire, …, à l’expression de mes sentiments les plus dévoués. – Veuillez croire, …, à l’assurance de mes salutations distinguées. – Veuillez agréer, …, l’expression de mes salutations distinguées ou l’assurance de ma considération. – Je vous prie de recevoir ou d’agréer,…, mes salutations distinguées.

Comment s’adresser à un parent ?

Déclare-lui ton Amour ! Depuis quand n’as-tu pas dit à ta maman que tu l’ aimes ? …

Du plus intime au plus formel :
  1. Bises / Je t’embrasse.
  2. Amitiés / Toutes mes amitiés / Amicalement.
  3. Cordialement.
  4. Bien à toi / Bien à vous.
  5. Sincères salutations.

Quels sont les mots de remerciement ?

Texte de remerciement baptême
  • Du fond du coeur, mille mercis. …
  • Les mots me manquent pour exprimer combien ta gentillesse me touche. …
  • Sache que ton geste d’amitié m’a profondément touché. …
  • En toute circonstance, tu es là pour moi. …
  • J’ai beaucoup de chance : à peine né, je suis couvert de cadeaux et de compliments !

Comment dire merci à son père ?

Alors papa merci, merci pour ce que tu m’as apporté, merci de m’avoir aidée à me construire, merci d’être encore à mes côtés chaque jour, merci de faire taire mes doutes en me serrant fort dans tes bras, merci d’essayer de trouver les mots même si tu es maladroit [ c’est de famille – il parait ].

Quel est le message de la vie ?

La vie est trop courte pour donner une seule minute à quelque chose qui ne fait pas ton bonheur. Il faut vivre tout simplement, prendre la vie comme une chance et non comme un fardeau. La vie est courte, vivez-la pleinement. La vie est trop longue pour le malheureux, bien trop courte pour l’homme heureux.

Quelle est la plus belle phrase d’amour ?

“Je ne sais où va mon chemin mais je marche mieux quand ma main serre la tienne.” “Je t’aime parce que tout l’univers a conspiré à me faire arriver jusqu’à toi”. “Il n’y a rien de plus précieux en ce monde que le sentiment d’exister pour quelqu’un.” “Il n’y a qu’un bonheur dans la vie, c’est d’aimer et d’être aimé.”

Quels sont les citations de la vie ?

Citations sur la vie
  • La vraie vie est si souvent celle qu’on ne vit pas. …
  • Quand on a tout perdu, quand on n’a plus d’espoir, La vie est un opprobre, et la mort un devoir. …
  • La vie est une chose bien trop importante pour qu’on en parle sérieusement. …
  • La vie est à monter et non pas à descendre.

Comment écrire un petit mot de remerciement ?

Je te remercie pour ton bouquet que j’ai reçu en début de semaine. Tu l’as particulièrement bien choisi et il est magnifique.

Du plus intime au plus formel :
  1. Bises / Je t’embrasse.
  2. Amitiés / Toutes mes amitiés / Amicalement.
  3. Cordialement.
  4. Bien à toi / Bien à vous.
  5. Sincères salutations.

Comment dire merci à la famille ?

Très chère famille, Ce sont des milliers de remerciements que je vous envoie à travers cette carte. J’ai été très touché par votre présence et par votre soutien. Cela m’a fait chaud au cœur.

Comment faire un bon remerciement ?

Rédiger des remerciements
  1. Les remerciements doivent être bien écrits. Cette qualité implique une absence totale de fautes, une ponctuation et un ton adaptés (il faut dans tous les cas éviter les lourdeurs de style ainsi qu’une emphase inappropriée).
  2. Il est préférable de préciser la fonction (maître de stage, etc.)

Comment remercier les parents pour un cadeau ?

En m’offrant ce cadeau, vous m’avez fait une très belle surprise. Rarement j’ai été aussi ému. C’est pourquoi je voulais vous dire Merci. Ici et maintenant je vous aime pour le reste de ma vie.


Mes Chers Parents, Lettre d’amour pour mes parents, Hommage à mes parents
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Les Plus Beaux Poèmes sur les Parents et Grand-Parents

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Si vous souhaitez lire ou relire les poèmes français les plus célèbres et les plus beaux sur le thème des parents et grand-parents, vous êtes au bon endroit. Cet article est séparé en trois sections : les poèmes sur les mères, les poèmes sur les pères, puis les poèmes sur les grand-mères et grand-pères.

Bien que l’art soit subjectif, j’ai tenté de sélectionner des poèmes incontournables en me basant sur mes préférences personnelles et leur présence dans plusieurs anthologies de la poésie française que j’ai pu lire.

Voici le meilleur de la poésie sur les parents et grand-parents.

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Poèmes sur les mères

À maman – Victor Hugo

Mon cœur me dit que c’est ta fête

Je crois toujours mon cœur quand il parle de toi

Maman, que faut-il donc que ce cœur te souhaite ?

Des trésors ? Des honneurs ? Des trônes ? Non, ma foi !

Mais un bonheur égal au mien quand je te vois.

Ma mère – Émile Nelligan

Quelquefois sur ma tête elle met ses mains pures,

Blanches, ainsi que des frissons blancs de guipures.

Elle me baise au front, me parle tendrement,

D’une voix au son d’or mélancoliquement.

Elle a les yeux couleur de ma vague chimère,

O toute poésie, ô toute extase, ô Mère !

A l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant,

Je suis toujours petit pour elle, quoique grand.

Devant deux portraits de ma mère – Émile Nelligan

Ma mère, que je l’aime en ce portrait ancien,

Peint aux jours glorieux qu’elle était jeune fille,

Le front couleur de lys et le regard qui brille

Comme un éblouissant miroir vénitien !

Ma mère que voici n’est plus du tout la même ;

Les rides ont creusé le beau marbre frontal ;

Elle a perdu l’éclat du temps sentimental

Où son hymen chanta comme un rose poème.

Aujourd’hui je compare, et j’en suis triste aussi,

Ce front nimbé de joie et ce front de souci,

Soleil d’or, brouillard dense au couchant des années.

Mais, mystère du cœur qui ne peut s’éclairer !

Comment puis-je sourire à ces lèvres fanées !

Au portrait qui sourit, comment puis-je pleurer !

À ma mère – Alfred de Musset

Après un si joyeux festin,

Zélés sectateurs de Grégoire,

Mes amis, si, le verre en main

Nous voulons chanter, rire et boire,

Pourquoi s’adresser à Bacchus ?

Dans une journée aussi belle

Mes amis, chantons en ” chorus ”

À la tendresse maternelle. (Bis.)

Un don pour nous si précieux,

Ce doux protecteur de l’enfance,

Ah ! c’est une faveur des cieux

Que Dieu donna dans sa clémence.

D’un bien pour l’homme si charmant

Nous avons ici le modèle ;

Qui ne serait reconnaissant

À la tendresse maternelle ? (Bis.)

Arrive-t-il quelque bonheur ?

Vite, à sa mère on le raconte ;

C’est dans son sein consolateur

Qu’on cache ses pleurs ou sa honte.

A-t-on quelques faibles succès,

On ne triomphe que pour elle

Et que pour répondre aux bienfaits

De la tendresse maternelle. (Bis.)

Ô toi, dont les soins prévoyants,

Dans les sentiers de cette vie

Dirigent mes pas nonchalants,

Ma mère, à toi je me confie.

Des écueils d’un monde trompeur

Écarte ma faible nacelle.

Je veux devoir tout mon bonheur

À la tendresse maternelle. (Bis.)

Comme tel qui parle de sa mère – Rainer Maria Rilke

Comme tel qui parle de sa mère

lui ressemble en parlant,

ce pays ardent se désaltère

en se souvenant infiniment.

Tant que les épaules des collines

rentrent sous le geste commençant

de ce pur espace qui les rend

à l’étonnement des origines.

L’amour maternel – Sully Prudhomme

Fait d’héroïsme et de clémence,

Présent toujours au moindre appel,

Qui de nous peut dire où commence,

Où finit l’amour maternel ?

Il n’attend pas qu’on le mérite,

Il plane en deuil sur les ingrats ;

Lorsque le père déshérite,

La mère laisse ouverts ses bras ;

Son crédule dévouement reste

Quand les plus vrais nous ont menti,

Si téméraire et si modeste

Qu’il s’ignore et n’est pas senti.

Pour nous suivre il monte ou s’abîme,

À nos revers toujours égal,

Ou si profond ou si sublime

Que, sans maître, il est sans rival :

Est-il de retraite plus douce

Qu’un sein de mère, et quel abri

Recueille avec moins de secousse

Un cœur fragile endolori ?

Quel est l’ami qui sans colère

Se voit pour d’autres négligé ?

Qu’on méconnaît sans lui déplaire,

Si bon qu’il n’en soit affligé ?

Quel ami dans un précipice

Nous joint sans espoir de retour,

Et ne sent quelque sacrifice

Où la mère ne sent qu’amour ?

Lequel n’espère un avantage

Des échanges de l’amitié ?

Que de fois la mère partage

Et ne garde pas sa moitié !

Ô mère, unique Danaïde

Dont le zèle soit sans déclin,

Et qui, sans maudire le vide,

Y penche un grand cœur toujours plein !

À ma mère – Théodore de Banville

Ô ma mère et ma nourrice !

Toi dont l’âme protectrice

Me fit des jours composés

Avec un bonheur si rare,

Et qui ne me fus avare

Ni de lait ni de baisers !

Je t’adore, sois bénie.

Tu berças dans l’harmonie

Mon esprit aventureux,

Et loin du railleur frivole

Mon Ode aux astres s’envole :

Sois fière, je suis heureux.

J’ai vaincu l’ombre et le doute.

Qu’importe si l’on écoute

Avec dédain trop souvent

Ma voix par les pleurs voilée,

Quand sur ma lyre étoilée

Tu te penches en rêvant !

Va, je verrai sans envie

Que le destin de ma vie

N’ait pas pu se marier

Aux fortunes éclatantes,

Pourvu que tu te contentes

D’un petit brin de laurier.

À ma Mère (II). – Théodore de Banville

Mère, si peu qu’il soit, l’audacieux rêveur

Qui poursuit sa chimère,

Toute sa poésie, ô céleste faveur !

Appartient à sa mère.

L’artiste, le héros amoureux des dangers

Et des luttes fécondes,

Et ceux qui, se fiant aux navires légers,

S’en vont chercher des mondes,

L’apôtre qui parfois peut comme un séraphin

Épeler dans la nue,

Le savant qui dévoile Isis, et peut enfin

L’entrevoir demi-nue,

Tous ces hommes sacrés, élus mystérieux

Que l’univers écoute,

Ont eu dans le passé d’héroïques aïeux

Qui leur tracent la route.

Mais nous qui pour donner l’impérissable amour

Aux âmes étouffées,

Devons être ingénus comme à leur premier jour

Les antiques Orphées,

Nous qui, sans nous lasser, dans nos cœurs même ouvrant

Comme une source vive,

Devons désaltérer le faible et l’ignorant

Pleins d’une foi naïve,

Nous qui devons garder sur nos fronts éclatants,

Comme de frais dictames,

Le sourire immortel et fleuri du printemps

Et la douceur des femmes,

N’est-ce pas, n’est-ce pas, dis-le, toi qui me vois

Rire aux peines amères,

Que le souffle attendri qui passe dans nos voix

Est celui de nos mères ?

Petits, leurs mains calmaient nos plus vives douleurs,

Patientes et sûres :

Elles nous ont donné des mains comme les leurs

Pour toucher aux blessures.

Notre mère enchantait notre calme sommeil,

Et comme elle, sans trêve,

Quand la foule s’endort dans un espoir vermeil,

Nous enchantons son rêve.

Notre mère berçait d’un refrain triomphant

Notre âme alors si belle,

Et nous, c’est pour bercer l’homme toujours enfant

Que nous chantons comme elle.

Tout poète, ébloui par le but solennel

Pour lequel il conspire,

Est brûlé d’un amour céleste et maternel

Pour tout ce qui respire.

Et ce martyr, qui porte une blessure au flanc

Et qui n’a pas de haines,

Doit cette extase immense à celle dont le sang

Ruisselle dans ses veines.

Ô toi dont les baisers, sublime et pur lien !

À défaut de génie

M’ont donné le désir ineffable du bien,

Ma mère, sois bénie.

Et, puisque celle enfin qui l’a reçu des cieux

Et qui n’est jamais lasse,

Sait encore se faire un joyau précieux

D’un pauvre enfant sans grâce.

Va, tu peux te parer de l’objet de tes soins

Au gré de ton envie,

Car ce peu que je vaux est bien à toi du moins,

Ô moitié de ma vie !

À ma mère – Max Elskamp

Ô Claire, Suzanne, Adolphine,

Ma Mère, qui m’étiez divine,

Comme les Maries, et qu’enfant,

J’adorais dès le matin blanc

Qui se levait là, près de l’eau,

Dans l’embrun gris monté des flots,

Du fleuve qui chantait matines

À voix de cloches dans la bruine ;

Ô ma Mère, avec vos yeux bleus,

Que je regardais comme cieux,

Penchés sur moi tout de tendresse,

Et vos mains elles, de caresses,

Lorsqu’en vos bras vous me portiez

Et si douce me souriiez,

Pour me donner comme allégresse

Du jour venu qui se levait,

Et puis après qui me baigniez

Nu, mais alors un peu revêche,

Dans un bassin blanc et d’eau fraîche,

Aux aubes d’hiver ou d’été.

Ô ma Mère qui m’étiez douce

Comme votre robe de soie,

Et qui me semblait telle mousse

Lorsque je la touchais des doigts,

Ma Mère, avec aux mains vos bagues

Que je croyais des cerceaux d’or,

Lors en mes rêves d’enfant, vagues,

Mais dont il me souvient encor ;

Ô ma Mère aussi qui chantiez,

Parfois lorsqu’à tort j’avais peine,

Des complaintes qui les faisaient

De mes chagrins choses sereines,

Et qui d’amour me les donniez

Alors que pour rien, je pleurais.

Ô ma Mère, dans mon enfance,

J’étais en vous, et vous en moi,

Et vous étiez dans ma croyance,

Comme les Saintes que l’on voit,

Peintes dans les livres de foi

Que je feuilletais sans science,

M’arrêtant aux anges en ailes

À l’Agneau du Verbe couché,

Et à des paradis vermeils

Où les âmes montaient dorées.

Et vous m’étiez la Sainte-Claire,

Et dont on m’avait lu le nom,

Qui portait comme de lumière

Un nimbe peint autour du front.

Mais temps qui va et jours qui passent,

Alors, ma Mère, j’ai grandi,

Et vous m’avez été l’amie

Aux heures où j’avais l’âme lasse,

Ainsi que parfois dans la vie

Il en est d’avoir trop rêvé

Et sur la voie qu’on a suivie

De s’être ainsi souvent trompé.

Et vous m’avez lors consolé

Des mauvais jours dont j’étais l’hôte,

Et m’avez aussi pardonné

Parfois encore aussi mes fautes,

Ma Mère, qui lisiez en moi,

Ce que je pensais sans le dire,

Et saviez ma peine ou ma joie

Et me l’avériez d’un sourire.

Claire, Suzanne, Adolphine,

Ô ma Mère, des Écaussinnes,

À présent si loin qui dormez,

Vous souvient-il des jours d’été,

Là-bas en Août, quand nous allions,

Pour les visiter nos parents

Dans leur château de Belle-Tête,

Bâti en pierres de chez vous,

Et qui alors nous faisaient fête

À vous, leur fille, ainsi qu’à nous,

En cette douce Wallonie

D’étés clairs là-bas, en Hainaut,

Où nous entendions d’harmonie,

Comme une voix venue d’en-haut,

Le bruit des ciseaux sur les pierres

Et qui chantaient sous les marteaux,

Comme cloches sonnant dans l’air

Ou mer au loin montant ses eaux,

Tandis que comme des éclairs

Passaient les trains sous les ormeaux.

Ô ma Mère des Écaussinnes,

C’est votre sang qui parle en moi,

Et mon âme qui se confine

En Vous, et d’amour, et de foi,

Car vous m’étiez comme Marie,

Bien que je ne sois pas Jésus,

Et lorsque vous êtes partie,

J’ai su que j’avais tout perdu.

Ce siècle avait deux ans – Victor Hugo

Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,

Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte,

Et du premier consul, déjà, par maint endroit,

Le front de l’empereur brisait le masque étroit.

Alors dans Besançon, vieille ville espagnole,

Jeté comme la graine au gré de l’air qui vole,

Naquit d’un sang breton et lorrain à la fois

Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;

Si débile qu’il fut, ainsi qu’une chimère,

Abandonné de tous, excepté de sa mère,

Et que son cou ployé comme un frêle roseau

Fit faire en même temps sa bière et son berceau.

Cet enfant que la vie effaçait de son livre,

Et qui n’avait pas même un lendemain à vivre,

C’est moi. –

Je vous dirai peut-être quelque jour

Quel lait pur, que de soins, que de vœux, que d’amour,

Prodigués pour ma vie en naissant condamnée,

M’ont fait deux fois l’enfant de ma mère obstinée,

Ange qui sur trois fils attachés à ses pas

épandait son amour et ne mesurait pas !

Ô l’amour d’une mère ! amour que nul n’oublie !

Pain merveilleux qu’un dieu partage et multiplie !

Table toujours servie au paternel foyer !

Chacun en a sa part et tous l’ont tout entier !

Je pourrai dire un jour, lorsque la nuit douteuse

Fera parler les soirs ma vieillesse conteuse,

Comment ce haut destin de gloire et de terreur

Qui remuait le monde aux pas de l’empereur,

Dans son souffle orageux m’emportant sans défense,

À tous les vents de l’air fit flotter mon enfance.

Car, lorsque l’aquilon bat ses flots palpitants,

L’océan convulsif tourmente en même temps

Le navire à trois ponts qui tonne avec l’orage,

Et la feuille échappée aux arbres du rivage !

Maintenant, jeune encore et souvent éprouvé,

J’ai plus d’un souvenir profondément gravé,

Et l’on peut distinguer bien des choses passées

Dans ces plis de mon front que creusent mes pensées.

Certes, plus d’un vieillard sans flamme et sans cheveux,

Tombé de lassitude au bout de tous ses vœux,

Pâlirait s’il voyait, comme un gouffre dans l’onde,

Mon âme où ma pensée habite, comme un monde,

Tout ce que j’ai souffert, tout ce que j’ai tenté,

Tout ce qui m’a menti comme un fruit avorté,

Mon plus beau temps passé sans espoir qu’il renaisse,

Les amours, les travaux, les deuils de ma jeunesse,

Et quoiqu’encore à l’âge où l’avenir sourit,

Le livre de mon cœur à toute page écrit !

Si parfois de mon sein s’envolent mes pensées,

Mes chansons par le monde en lambeaux dispersées ;

S’il me plaît de cacher l’amour et la douleur

Dans le coin d’un roman ironique et railleur ;

Si j’ébranle la scène avec ma fantaisie,

Si j’entrechoque aux yeux d’une foule choisie

D’autres hommes comme eux, vivant tous à la fois

De mon souffle et parlant au peuple avec ma voix ;

Si ma tête, fournaise où mon esprit s’allume,

Jette le vers d’airain qui bouillonne et qui fume

Dans le rythme profond, moule mystérieux

D’où sort la strophe ouvrant ses ailes dans les cieux ;

C’est que l’amour, la tombe, et la gloire, et la vie,

L’onde qui fuit, par l’onde incessamment suivie,

Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal,

Fait reluire et vibrer mon âme de cristal,

Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j’adore

Mit au centre de tout comme un écho sonore !

D’ailleurs j’ai purement passé les jours mauvais,

Et je sais d’où je viens, si j’ignore où je vais.

L’orage des partis avec son vent de flamme

Sans en altérer l’onde a remué mon âme.

Rien d’immonde en mon cœur, pas de limon impur

Qui n’attendît qu’un vent pour en troubler l’azur !

Après avoir chanté, j’écoute et je contemple,

A l’empereur tombé dressant dans l’ombre un temple,

Aimant la liberté pour ses fruits, pour ses fleurs,

Le trône pour son droit, le roi pour ses malheurs ;

Fidèle enfin au sang qu’ont versé dans ma veine

Mon père vieux soldat, ma mère vendéenne !

Jeanne était au pain sec – Victor Hugo

Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir,

Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir,

J’allai voir la proscrite en pleine forfaiture,

Et lui glissai dans l’ombre un pot de confiture

Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité,

Repose le salut de la société,

S’indignèrent, et Jeanne a dit d’une voix douce :

– Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ;

Je ne me ferai plus griffer par le minet.

Mais on s’est récrié : – Cette enfant vous connaît ;

Elle sait à quel point vous êtes faible et lâche.

Elle vous voit toujours rire quand on se fâche.

Pas de gouvernement possible. À chaque instant

L’ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ;

Plus de règle. L’enfant n’a plus rien qui l’arrête.

Vous démolissez tout. – Et j’ai baissé la tête,

Et j’ai dit : – Je n’ai rien à répondre à cela,

J’ai tort. Oui, c’est avec ces indulgences-là

Qu’on a toujours conduit les peuples à leur perte.

Qu’on me mette au pain sec. – Vous le méritez, certe,

On vous y mettra. – Jeanne alors, dans son coin noir,

M’a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir,

Pleins de l’autorité des douces créatures :

– Eh bien, moi, je t’irai porter des confitures.

Bénédiction – Charles Baudelaire

Lorsque, par un décret des puissances suprêmes,

Le Poète apparaît en ce monde ennuyé,

Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes

Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié :

– “Ah ! que n’ai-je mis bas tout un noeud de vipères,

Plutôt que de nourrir cette dérision !

Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères

Où mon ventre a conçu mon expiation !

Puisque tu m’as choisie entre toutes les femmes

Pour être le dégoût de mon triste mari,

Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes,

Comme un billet d’amour, ce monstre rabougri,

Je ferai rejaillir ta haine qui m’accable

Sur l’instrument maudit de tes méchancetés,

Et je tordrai si bien cet arbre misérable,

Qu’il ne pourra pousser ses boutons empestés !”

Elle ravale ainsi l’écume de sa haine,

Et, ne comprenant pas les desseins éternels,

Elle-même prépare au fond de la Géhenne

Les bûchers consacrés aux crimes maternels.

Pourtant, sous la tutelle invisible d’un Ange,

L’Enfant déshérité s’enivre de soleil,

Et dans tout ce qu’il boit et dans tout ce qu’il mange

Retrouve l’ambroisie et le nectar vermeil.

Il joue avec le vent, cause avec le nuage,

Et s’enivre en chantant du chemin de la croix ;

Et l’Esprit qui le suit dans son pèlerinage

Pleure de le voir gai comme un oiseau des bois.

Tous ceux qu’il veut aimer l’observent avec crainte,

Ou bien, s’enhardissant de sa tranquillité,

Cherchent à qui saura lui tirer une plainte,

Et font sur lui l’essai de leur férocité.

Dans le pain et le vin destinés à sa bouche

Ils mêlent de la cendre avec d’impurs crachats ;

Avec hypocrisie ils jettent ce qu’il touche,

Et s’accusent d’avoir mis leurs pieds dans ses pas.

Sa femme va criant sur les places publiques :

“Puisqu’il me trouve assez belle pour m’adorer,

Je ferai le métier des idoles antiques,

Et comme elles je veux me faire redorer ;

Et je me soûlerai de nard, d’encens, de myrrhe,

De génuflexions, de viandes et de vins,

Pour savoir si je puis dans un coeur qui m’admire

Usurper en riant les hommages divins !

Et, quand je m’ennuierai de ces farces impies,

Je poserai sur lui ma frêle et forte main ;

Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies,

Sauront jusqu’à son coeur se frayer un chemin.

Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite,

J’arracherai ce coeur tout rouge de son sein,

Et, pour rassasier ma bête favorite,

Je le lui jetterai par terre avec dédain !”

Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide,

Le Poète serein lève ses bras pieux,

Et les vastes éclairs de son esprit lucide

Lui dérobent l’aspect des peuples furieux :

– “Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance

Comme un divin remède à nos impuretés

Et comme la meilleure et la plus pure essence

Qui prépare les forts aux saintes voluptés !

Je sais que vous gardez une place au Poète

Dans les rangs bienheureux des saintes Légions,

Et que vous l’invitez à l’éternelle fête,

Des Trônes, des Vertus, des Dominations.

Je sais que la douleur est la noblesse unique

Où ne mordront jamais la terre et les enfers,

Et qu’il faut pour tresser ma couronne mystique

Imposer tous les temps et tous les univers.

Mais les bijoux perdus de l’antique Palmyre,

Les métaux inconnus, les perles de la mer,

Par votre main montés, ne pourraient pas suffire

A ce beau diadème éblouissant et clair ;

Car il ne sera fait que de pure lumière,

Puisée au foyer saint des rayons primitifs,

Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière,

Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs !”

Une mère – François-Marie Robert-Dutertre

Dors, blonde enfant à la bouche vermeille,

Dors au refrain de mes tendres chansons ;

Pour mieux te plaire et charmer ton oreille

Languissamment j’affaiblis mes doux sons.

Mais quand ta voix pourra dire : Ma mère !

Quand tu courras sur les gazons en fleur ;

Ces jours heureux, fille charmante et chère,

Me paieront tous mes soins et ma douleur.

Refrain

Mais, dors encore, dors encore, mon bel ange,

Dors au refrain de mon langoureux chant ;

Que des esprits la céleste phalange

Berce tes doux petits rêves d’enfant.

Quels sont ces chants, ces voiles et ces cierges,

Ces fronts penchés devant le roi des rois ?

Aux saints parvis. Ce sont de blanches vierges

Communiant pour la première fois.

De même, un jour, ô ma fille bénie,

Je te verrai pure et blanche au saint lieu,

Et de bonheur mon âme rajeunie

Près des autels avec toi priera Dieu.

Mais, dors encore, dors encore, mon bel ange.

Un jour, hélas ! modeste fiancée,

Tu passeras aux bras d’un jeune époux.

De ton amour, rien qu’à cette pensée,

Je sens déjà mon cœur être jaloux.

Mais au bonheur de ma fille adorée

Sacrifiant mon amour maternel,

J’irai bénir dans l’enceinte sacrée

Ton doux hymen aux pieds de l’Éternel.

Mais, dors encore, dors encore, mon bel ange.

À maman – Sylvie Rembard

Ce poème étant toujours protégé par les droits d’auteur, nous avons décidé de ne pas partager son texte ici par respect pour l’auteur.

Maman – Élodie Santos

Ce poème étant toujours protégé par les droits d’auteur, nous avons décidé de ne pas partager son texte ici par respect pour l’auteur.

À ma mère – Kamal Zerdoumi

Ce poème étant toujours protégé par les droits d’auteur, nous avons décidé de ne pas partager son texte ici par respect pour l’auteur.

Poèmes sur les pères

Mon cher papa – Stéphane Mallarmé

J’avais appris un compliment,

Et j’accourais pour célébrer ta fête,

On y parlait de sentiment

De tendre amour, d’ardeur parfaite ;

Mais j’ai tout oublié,

Lorsque je suis venu,

Je t’aime est le seul mot que j’ai bien retenu.

Pour mon père – Maurice Carême

Mon papa aimé, mon papa à moi

Toi qui me fais bondir

Sur tes genoux

Comme un chamois,

Que pourrais-je te dire

Que tu ne sais déjà ?

Il fait si doux

Quand ton sourire

Éclaire tout sous notre toit.

Je me sens fort, je me sens roi,

Quand je marche à côté de toi.

À mon père – Max Elskamp

Mon Père Louis, Jean, François,

Avec vos prénoms de navires,

Mon Père mien, mon Père à moi,

Et dont les yeux couleur de myrrhe,

Disaient une âme vraie et sûre,

En sa douceur et sa bonté,

Où s’avérait noble droiture,

Et qui luisait comme un été,

Mon Père avec qui j’ai vécu

Et dans une ferveur amie,

Depuis l’enfance où j’étais nu,

Jusqu’en la vieillesse où je suis.

Mon Père, amour m’était en vous,

Que j’ai gardé toute ma vie,

Ainsi qu’une lumière luie

En moi, et qui vous disait tout ;

Mon père qui étiez ma foi

Toute de clarté souriante,

Dont la parole m’était loi

Consentie par mon âme aimante,

Mon Père doux à mes erreurs,

Et qui me pardonniez mes fautes,

Aux jours où trop souvent mon cœur

De sagesse n’était plus l’hôte,

Mon Père ainsi je vous ai su

Dans les heures comme elles viennent

Du ciel ou d’enfer descendues,

Apportant la joie ou la peine.

Or paix et qui était en vous

En l’amour du monde et des choses,

Alors que mon cœur un peu fou

Les voyait eux, parfois moins roses,

C’était vous lors qui m’apportiez

Foi en eux qui n’était en moi,

Lorsque si doux vous souriiez

À mes craintes ou mon émoi,

Et vous étiez alors mon Dieu,

Et qui me donniez en silence,

Et rien que par votre présence

Espoir en le bonheur qu’on veut.

Pour mieux accepter en l’attente

L’instant qui est, le jour qui vient,

Et sans que doute les démentes

Croire aux joies dans les lendemains.

Ô mon Père, vous qui m’aimiez

Autant que je vous ai aimé,

Mon Père vous et qui saviez

Ce que je pensais ou rêvais,

Un jour où j’avais cru trouver

Celle qui eut orné ma vie,

À qui je m’étais tout donné,

Mais qui las ! ne m’a pas suivi,

Alors et comme je pleurais,

C’est vous si doux qui m’avez dit

Rien n’est perdu et tout renaît

Il est plus haut des paradis,

Et c’est épreuve pour ta chair

Sans plus mais d’âme un autre jour,

Tu trouveras le vrai amour

Éternel comme est la lumière,

Et pars et va sur les navires

Pour oublier ici ta peine,

Que c’est ce que tu désires,

Et bien que ce soit chose vaine,

Va, mon fils, je suis avec toi

Tu ne seras seul sous les voiles,

Va, pars et surtout garde foi,

Dans la vie et dans ton étoile.

Or des jours alors ont passé

De nuit, de brume ou d’or vêtus,

Et puis des mois et des années

Qu’ensemble nous avons vécus

Mon Père et moi d’heures sincères,

Où nous était de tous les jours

La vie ou douce, ou bien amère,

Ainsi qu’elle est et tour à tour,

Et puis en un matin d’avril

Les anges noirs eux, sont venus,

Et comme il tombait du grésil

Sur les arbres encore nus,

C’est vous mon Père bien aimé,

Qui m’avez dit adieu tout bas,

Vos yeux dans les miens comme entrés

Qui êtes mort entre mes bras.

À mon père – Théodore de Banville

O mon père, soldat obscur, âme angélique !

Juste qui vois le mal d’un œil mélancolique,

Sois béni ! je te dois ma haine et mon mépris

Pour tous les vils trésors dont le monde est épris.

Oh ! tandis que je vais fouillant l’ombre éternelle,

Si la Muse une fois me touchait de son aile !

Si ses mains avaient pris plaisir à marier

Sur mon front orgueilleux la rose et le laurier

Par lesquels le poëte est souvent plus qu’un homme,

Comme je tomberais à tes genoux ! et comme

Je ne serais jaloux de personne et de rien,

Si tu disais : Mon fils, je suis content, c’est bien.

Car ce cœur fier que rien de bas ne peut séduire,

O père, est bien à toi, qui toujours as fait luire

Devant moi, comme un triple et merveilleux flambeau,

L’ardeur du bien, l’espoir du vrai, l’amour du beau !

Mon Père – François Coppée

Tenez, lecteur ! – souvent, tout seul, je me promène

Au lieu qui fut jadis la barrière du Maine.

C’est laid, surtout depuis le siège de Paris.

On a planté d’affreux arbustes rabougris

Sur ces longs boulevards où naguère des ormes

De deux cents ans croisaient leurs ramures énormes.

Le mur d’octroi n’est plus ; le quartier se bâtit.

Mais c’est là que jadis, quand j’étais tout petit,

Mon père me menait, enfant faible et malade,

Par les couchants d’été faire une promenade.

C’est sur ces boulevards déserts, c’est dans ce lieu

Que cet homme de bien, pur, simple et craignant Dieu,

Qui fut bon comme un saint, naïf comme un poète,

Et qui, bien que très pauvre, eut toujours l’âme en fête,

Au fond d’un bureau sombre après avoir passé

Tout le jour, se croyant assez récompensé

Par la douce chaleur qu’au cœur nous communique

La main d’un dernier-né, la main d’un fils unique,

C’est là qu’il me menait. Tous deux nous allions voir

Les longs troupeaux de bœufs marchant vers l’abattoir,

Et quand mes petits pieds étaient assez solides,

Nous poussions quelquefois jusques aux Invalides,

Où, mêlés aux badauds descendus des faubourgs,

Nous suivions la retraite et les petits tambours.

Et puis enfin, à l’heure où la lune se lève,

Nous prenions pour rentrer la route la plus brève ;

On montait au cinquième étage, lentement ;

Et j’embrassais alors mes trois sœurs et maman,

Assises et cousant auprès d’une bougie.

– Eh bien, quand m’abandonne un instant l’énergie,

Quand m’accable par trop le spleen décourageant,

Je retourne, tout seul, à l’heure du couchant,

Dans ce quartier paisible où me menait mon père ;

Et du cher souvenir toujours le charme opère.

Je songe à ce qu’il fit, cet homme de devoir,

Ce pauvre fier et pur, à ce qu’il dut avoir

De résignation patiente et chrétienne

Pour gagner notre pain, tâche quotidienne,

Et se priver de tout, sans se plaindre jamais.

– Au chagrin qui me frappe alors je me soumets,

Et je sens remonter à mes lèvres surprises

Les prières qu’il m’a dans mon enfance apprises.

Après la bataille – Victor Hugo

Mon père, ce héros au sourire si doux,

Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous

Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,

Parcourait à cheval, le soir d’une bataille,

Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit.

Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit.

C’était un Espagnol de l’armée en déroute

Qui se traînait sanglant sur le bord de la route,

Râlant, brisé, livide, et mort plus qu’à moitié.

Et qui disait : « À boire! à boire par pitié ! »

Mon père, ému, tendit à son housard fidèle

Une gourde de rhum qui pendait à sa selle,

Et dit : « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. »

Tout à coup, au moment où le housard baissé

Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure,

Saisit un pistolet qu’il étreignait encore,

Et vise au front mon père en criant: « Caramba ! »

Le coup passa si près que le chapeau tomba

Et que le cheval fit un écart en arrière.

« Donne-lui tout de même à boire », dit mon père.

Trois ans après – Victor Hugo

Il est temps que je me repose ;

Je suis terrassé par le sort.

Ne me parlez pas d’autre chose

Que des ténèbres où l’on dort !

Que veut-on que je recommence ?

Je ne demande désormais

A la création immense

Qu’un peu de silence et de paix !

Pourquoi m’appelez-vous encore ?

J’ai fait ma tâche et mon devoir.

Qui travaillait avant l’aurore,

Peut s’en aller avant le soir.

A vingt ans, deuil et solitude !

Mes yeux, baissés vers le gazon,

Perdirent la douce habitude

De voir ma mère à la maison.

Elle nous quitta pour la tombe ;

Et vous savez bien qu’aujourd’hui

Je cherche, en cette nuit qui tombe,

Un autre ange qui s’est enfui !

Vous savez que je désespère,

Que ma force en vain se défend,

Et que je souffre comme père,

Moi qui souffris tant comme enfant !

Mon œuvre n’est pas terminée,

Dites-vous. Comme Adam banni,

Je regarde ma destinée,

Et je vois bien que j’ai fini.

L’humble enfant que Dieu m’a ravie

Rien qu’en m’aimant savait m’aider ;

C’était le bonheur de ma vie

De voir ses yeux me regarder.

Si ce Dieu n’a pas voulu clore

L’œuvre qu’il me fit commencer,

S’il veut que je travaille encore,

Il n’avait qu’à me la laisser !

Il n’avait qu’à me laisser vivre

Avec ma fille à mes côtés,

Dans cette extase où je m’enivre

De mystérieuses clartés !

Ces clartés, jour d’une autre sphère,

Ô Dieu jaloux, tu nous les vends !

Pourquoi m’as-tu pris la lumière

Que j’avais parmi les vivants ?

As-tu donc pensé, fatal maître,

Qu’à force de te contempler,

Je ne voyais plus ce doux être,

Et qu’il pouvait bien s’en aller ?

T’es-tu dit que l’homme, vaine ombre,

Hélas ! perd son humanité

A trop voir cette splendeur sombre

Qu’on appelle la vérité ?

Qu’on peut le frapper sans qu’il souffre,

Que son cœur est mort dans l’ennui,

Et qu’à force de voir le gouffre,

Il n’a plus qu’un abîme en lui ?

Qu’il va, stoïque, où tu l’envoies,

Et que désormais, endurci,

N’ayant plus ici-bas de joies,

Il n’a plus de douleurs aussi ?

As-tu pensé qu’une âme tendre

S’ouvre à toi pour se mieux fermer,

Et que ceux qui veulent comprendre

Finissent par ne plus aimer ?

Ô Dieu ! vraiment, as-tu pu croire

Que je préférais, sous les cieux,

L’effrayant rayon de ta gloire

Aux douces lueurs de ses yeux ?

Si j’avais su tes lois moroses,

Et qu’au même esprit enchanté

Tu ne donnes point ces deux choses,

Le bonheur et la vérité,

Plutôt que de lever tes voiles,

Et de chercher, cœur triste et pur,

A te voir au fond des étoiles,

Ô Dieu sombre d’un monde obscur,

J’eusse aimé mieux, loin de ta face,

Suivre, heureux, un étroit chemin,

Et n’être qu’un homme qui passe

Tenant son enfant par la main !

Maintenant, je veux qu’on me laisse !

J’ai fini ! le sort est vainqueur.

Que vient-on rallumer sans cesse

Dans l’ombre qui m’emplit le cœur ?

Vous qui me parlez, vous me dites

Qu’il faut, rappelant ma raison,

Guider les foules décrépites

Vers les lueurs de l’horizon ;

Qu’à l’heure où les peuples se lèvent

Tout penseur suit un but profond ;

Qu’il se doit à tous ceux qui rêvent,

Qu’il se doit à tous ceux qui vont !

Qu’une âme, qu’un feu pur anime,

Doit hâter, avec sa clarté,

L’épanouissement sublime

De la future humanité ;

Qu’il faut prendre part, cœurs fidèles,

Sans redouter les océans,

Aux fêtes des choses nouvelles,

Aux combats des esprits géants !

Vous voyez des pleurs sur ma joue,

Et vous m’abordez mécontents,

Comme par le bras on secoue

Un homme qui dort trop longtemps.

Mais songez à ce que vous faites !

Hélas ! cet ange au front si beau,

Quand vous m’appelez à vos fêtes,

Peut-être a froid dans son tombeau.

Peut-être, livide et pâlie,

Dit-elle dans son lit étroit :

“Est-ce que mon père m’oublie

Et n’est plus là, que j’ai si froid ?”

Quoi ! lorsqu’à peine je résiste

Aux choses dont je me souviens,

Quand je suis brisé, las et triste,

Quand je l’entends qui me dit : “Viens !”

Quoi ! vous voulez que je souhaite,

Moi, plié par un coup soudain,

La rumeur qui suit le poète,

Le bruit que fait le paladin !

Vous voulez que j’aspire encore

Aux triomphes doux et dorés !

Que j’annonce aux dormeurs l’aurore !

Que je crie : “Allez ! espérez !”

Vous voulez que, dans la mêlée,

Je rentre ardent parmi les forts,

Les yeux à la voûte étoilée…

– Oh ! l’herbe épaisse où sont les morts !

Le Père – François Coppée

Il rentrait toujours ivre et battait sa maîtresse.

Deux sombres forgerons, le Vice et la Détresse,

Avaient rivé la chaîne à ces deux malheureux.

Cette femme était chez cet homme ― c’est affreux ! ―

Seulement par l’effroi de coucher dans la rue.

L’ivrogne la trouvait toujours aigre et bourrue

Le soir, et la frappait. Leurs cris et leurs jurons

Faisaient connaître l’heure aux gens des environs.

Puis c’était un silence effrayant dans leur chambre.

― Un jour que par l’horreur, par la faim, par décembre,

Ce couple épouvantable était plus assailli,

Il leur naquit un fils, berceau mal accueilli,

Humble front baptisé par un baiser morose,

Hélas ! et qui n’était pas moins pur ni moins rose.

L’homme revint encore ivre le lendemain,

Mais, s’arrêtant au seuil, ne leva point la main

Sur sa femme, depuis que c’était une mère.

Le regard noir de haine et la parole amère,

Celle-ci se tourna vers son horrible amant

Qui la voyait bercer son fils farouchement,

Et, raillant, lui cria :

« Frappe donc ! Qui t’arrête ?

Notre homme, j’attendais ton retour. Je suis prête.

L’hiver est-il moins dur ? le pain est-il moins cher ?

Dis ! et n’es-tu pas ivre aujourd’hui comme hier ? »

Mais le père, accablé, ne parut point l’entendre,

Et, fixant sur son fils un œil stupide et tendre,

Craintif, ainsi qu’un homme accusé se défend,

Il murmura :

« J’ai peur de réveiller l’enfant ! »

Percé jusques au fond du cœur – Pierre Corneille

Le Cid, acte 1, scène 6

Percé jusques au fond du cœur

D’une atteinte imprévue aussi bien que mortelle,

Misérable vengeur d’une juste querelle,

Et malheureux objet d’une injuste rigueur,

Je demeure immobile, et mon âme abattue

Cède au coup qui me tue.

Si près de voir mon feu récompensé,

Ô Dieu, l’étrange peine !

En cet affront mon père est l’offensé,

Et l’offenseur le père de Chimène !

Que je sens de rudes combats !

Contre mon propre honneur mon amour s’intéresse :

Il faut venger un père, et perdre une maîtresse :

L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras.

Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme,

Ou de vivre en infâme,

Des deux côtés mon mal est infini.

Ô Dieu, l’étrange peine !

Faut-il laisser un affront impuni ?

Faut-il punir le père de Chimène ?

Père, maîtresse, honneur, amour,

Noble et dure contrainte, aimable tyrannie,

Tous mes plaisirs sont morts, ou ma gloire ternie.

L’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour.

Cher et cruel espoir d’une âme généreuse,

Mais ensemble amoureuse,

Digne ennemi de mon plus grand bonheur,

Fer qui causes ma peine,

M’es-tu donné pour venger mon honneur ?

M’es-tu donné pour perdre ma Chimène ?

Il vaut mieux courir au trépas.

Je dois à ma maîtresse aussi bien qu’à mon père :

J’attire en me vengeant sa haine et sa colère ;

J’attire ses mépris en ne me vengeant pas.

À mon plus doux espoir l’un me rend infidèle,

Et l’autre indigne d’elle.

Mon mal augmente à le vouloir guérir ;

Tout redouble ma peine.

Allons, mon âme ; et puisqu’il faut mourir,

Mourons du moins sans offenser Chimène.

Mourir sans tirer ma raison !

Rechercher un trépas si mortel à ma gloire !

Endurer que l’Espagne impute à ma mémoire

D’avoir mal soutenu l’honneur de ma maison !

Respecter un amour dont mon âme égarée

Voit la perte assurée !

N’écoutons plus ce penser suborneur,

Qui ne sert qu’à ma peine.

Allons, mon bras, sauvons du moins l’honneur,

Puisqu’après tout il faut perdre Chimène.

Oui, mon esprit s’était déçu.

Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse :

Que je meure au combat, ou meure de tristesse,

Je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu.

Je m’accuse déjà de trop de négligence :

Courons à la vengeance ;

Et tout honteux d’avoir tant balancé,

Ne soyons plus en peine,

Puisqu’aujourd’hui mon père est l’offensé,

Si l’offenseur est père de Chimène.

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! – Pierre Corneille

Le Cid, acte 1, scène 4

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie !

N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers

Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?

Mon bras, qu’avec respect toute l’Espagne admire,

Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,

Tant de fois affermi le trône de son roi,

Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?

Ô cruel souvenir de ma gloire passée !

Œuvre de tant de jours en un jour effacée !

Nouvelle dignité, fatale à mon bonheur !

Précipice élevé d’où tombe mon honneur !

Faut-il de votre éclat voir triompher le comte,

Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?

Comte, sois de mon prince à présent gouverneur :

Ce haut rang n’admet point un homme sans honneur ;

Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne,

Malgré le choix du roi, m’en a su rendre indigne.

Et toi, de mes exploits glorieux instrument,

Mais d’un corps tout de glace inutile ornement,

Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,

M’as servi de parade, et non pas de défense,

Va, quitte désormais le dernier des humains,

Passe, pour me venger, en de meilleures mains.

Ma couronne – Rhita Benjelloun

Ce poème étant toujours protégé par les droits d’auteur, nous avons décidé de ne pas partager son texte ici par respect pour l’auteur.

Poèmes sur les grand-parents

La grand-mère – Sophie d’Arbouville

Dansez, fillettes du village,

Chantez vos doux refrains d’amour :

Trop vite, hélas ! un ciel d’orage

Vient obscurcir le plus beau jour.

En vous voyant, je me rappelle

Et mes plaisirs et mes succès ;

Comme vous, j’étais jeune et belle,

Et, comme vous, je le savais.

Soudain ma blonde chevelure

Me montra quelques cheveux blancs…

J’ai vu, comme dans la nature,

L’hiver succéder au printemps.

Dansez, fillettes du village,

Chantez vos doux refrains d’amour ;

Trop vite, hélas ! un ciel d’orage

Vient obscurcir le plus beau jour.

Naïve et sans expérience,

D’amour je crus les doux serments,

Et j’aimais avec confiance…

On croit au bonheur à quinze ans !

Une fleur, par Julien cueillie,

Était le gage de sa foi ;

Mais, avant qu’elle fût flétrie,

L’ingrat ne pensait plus à moi !

Dansez, fillettes du Village,

Chantez vos doux refrains d’amour ;

Trop vite, hélas ! un ciel d’orage

Vient obscurcir le plus beau jour.

À vingt ans, un ami fidèle

Adoucit mon premier chagrin ;

J’étais triste, mais j’étais belle,

Il m’offrit son cœur et sa main.

Trop tôt pour nous vint la vieillesse ;

Nous nous aimions, nous étions vieux…

La mort rompit notre tendresse…

Mon ami fut le plus heureux !

Dansez, fillettes du village,

Chantez vos doux refrains d’amour ;

Trop vite, hélas ! un ciel d’orage

Vient obscurcir le plus beau jour.

Pour moi, n’arrêtez pas la danse ;

Le ciel est pur, je suis au port,

Aux bruyants plaisirs de l’enfance

La grand-mère sourit encor.

Que cette larme que j’efface

N’attriste pas vos jeunes cœurs :

Le soleil brille sur la glace,

L’hiver conserve quelques fleurs.

Dansez, fillettes du village,

Chantez vos doux refrains d’amour,

Et, sous un ciel exempt d’orage,

Embellissez mon dernier jour !

Ma grand-mère – Pierre-Jean de Béranger

Ma grand-mère, un soir à sa fête,

De vin pur ayant bu deux doigts,

Nous disait en branlant la tête :

Que d’amoureux j’eus autrefois !

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Quoi ! maman vous n’étiez pas sage !

— Non , vraiment ; et de mes appas

Seule à quinze ans j’appris l’usage,

Car la nuit je ne dormais pas.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Maman, vous aviez le cœur tendre ?

— Oui, si tendre, qu’à dix-sept ans

Lindor ne se fit pas attendre,

Et qu’il n’attendit pas longtemps.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Maman, Lindor savait donc plaire ?

— Oui, seul il me plut quatre mois ;

Mais bientôt j’estimais Valère,

Et fis deux heureux à la fois.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Quoi ! maman ! deux amants ensemble !

— Oui, mais chacun d’eux me trompa.

Plus fine alors qu’il ne vous semble,

J’épousais votre grand-papa.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Maman, que lui dit la famille ?

— Rien ; mais un mari plus sensé

Eût pu connaître à la coquille

Que l’œuf était déjà cassé.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Maman, lui fûtes-vous fidèle ?

— Oh ! sur cela je me tais bien.

A moins qu’à lui Dieu ne m’appelle

Mon confesseur n’en saura rien.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Bien tard, maman vous fûtes veuve

— Oui ; mais, grâce à ma gaîté,

Si l’église n’était plus neuve,

Le saint n’en fut pas moins fêté.

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

Comme vous, maman, faut il faire ?

— Hé, mes petits enfants, pourquoi,

Quand j’ai fait comme ma grand-mère,

Ne feriez-vous pas comme moi ?

Combien je regrette

Mon bras si dodu,

Ma jambe bien faite,

Et le temps perdu !

1er janvier – Victor Hugo

Enfant, on vous dira plus tard que le grand-père

Vous adorait ; qu’il fit de son mieux sur la terre,

Qu’il eut fort peu de joie et beaucoup d’envieux,

Qu’au temps où vous étiez petits il était vieux,

Qu’il n’avait pas de mots bourrus ni d’airs moroses,

Et qu’il vous a quittés dans la saison des roses ;

Qu’il est mort, que c’était un bonhomme clément ;

Que, dans l’hiver fameux du grand bombardement,

Il traversait Paris tragique et plein d’épées,

Pour vous porter des tas de jouets, des poupées,

Et des pantins faisant mille gestes bouffons ;

Et vous serez pensifs sous les arbres profonds.

A grand-papa – Charles Cros

Il faut écouter, amis,

La parole des ancêtres.

– Ne soyons jamais soumis !

Mais, d’où viennent tous les êtres ?

Donc pour cela, puis-je oser,

A travers l’imaginaire,

Vous envoyer un baiser

De tout mon cœur, mon grand-père ?

Vous faisiez des vers très doux

D’après le doux Théocrite,

” L’Oaristys ! ” C’est de vous

Qu’en faisant ces vers, j’hérite.

À mon grand-père – Alexandre Latil

Déjà l’hiver s’approche et son souffle humide

Vient augmenter encor vos cruelles douleurs ;

Déjà ma muse aussi, languissante et timide,

De sa fraîche couronne a vu pâlir les fleurs.

Mais avant que mes mains débiles et glacées

Laissent tomber mon luth par la gloire oublié,

Je veux qu’il soit pour vous l’écho de mes pensées,

Et qu’il vibre en faveur de ma tendre amitié.

Sur l’Océan du monde en naufrages fertile,

Au bruit des aquilons et des noirs ouragans,

Vous avez soixante ans bravé d’un front tranquille

Les écueils dangereux et les gouffres grondants.

Et soixante ans les flots de cette mer immense

Ont respecté la nef que guidaient vos vertus,

Car Dieu qui les comptait a, dans sa prévoyance,

Mon père, autour de vous calmé les flots émus.

Combien de passagers brillants, pleins d’allégresse,

Ont subi sur ces flots un horrible destin,

Sans que l’écho plaintif de leurs cris de détresse

Arrivât jusqu’à vous, de l’horizon lointain !

C’est que le Tout-Puissant, sur la terre ou sur l’onde,

Tôt ou tard du méchant punit l’iniquité,

Et du juste opprimé qui souffre dans ce monde

Récompense en secret la foi, la probité.

Mais las enfin d’errer sur les vagues humaines,

Vous revenez au port, dans vos foyers si chers,

Et des doux souvenirs de vos courses lointaines

Vous vous bercez encore au bruit des flots amers.

Après bien des travaux, bien des peines, mon père,

Près de nous vous voyez s’écouler vos vieux jours.

Si votre vie, hélas ! n’a pas été prospère,

Du moins aucun regret n’en vient troubler le cours.

Ah ! qu’importe après tout si l’espérance brille

Et de ses doux rayons ranime votre cœur ?

Patriarche honoré que chérit sa famille,

Vous puisez dans sa paix votre unique bonheur.

Puissiez-vous, désormais, éloigné des orages,

Jouir auprès de nous d’un paisible repos,

Et par vos longs récits, par vos conseils si sages,

Diriger mon esquif qui brave encore les flots !

Chanson de grand-père – Victor Hugo

Dansez, les petites filles,

Toutes en rond.

En vous voyant si gentilles,

Les bois riront.

Dansez, les petites reines,

Toutes en rond.

Les amoureux sous les frênes

S’embrasseront.

Dansez, les petites folles,

Toutes en rond.

Les bouquins dans les écoles

Bougonneront.

Dansez, les petites belles,

Toutes en rond.

Les oiseaux avec leurs ailes

Applaudiront.

Dansez, les petites fées,

Toutes en rond.

Dansez, de bleuets coiffées,

L’aurore au front.

Dansez, les petites femmes,

Toutes en rond.

Les messieurs diront aux dames

Ce qu’ils voudront.

Le Grand-Père – Maurice Rollinat

La fille au père Pierre, avec ses airs de sainte,

A si bien surveillé son corps fallacieux

Que sa grossesse a pu mentir à tous les yeux ;

Mais son heure a sonné de n’être plus enceinte.

Dans la grand’ chambre on dort comme l’eau dans les trous.

Tout à coup, elle geint, crie et se désespère.

On se lève, on apprend la chose. Le grand-père

Continue à ronfler sous son baldaquin roux.

Mais le bruit à la fin l’éveille, et le voilà

Clamant du lit profond d’où sa maigreur s’arrache :

« Pierr’, quoiq’ya ? – Pèr, ya rin ! – Si ! s’passe un’ chos’ qu’on m’cache ;

Et ma p’tit’ fill’ se plaint, j’l’entends ben ! quoi qu’elle a ? »

— Elle a qu’elle va faire un champi ! — Le bonhomme

Prend son bâton ferré qu’il brandit en disant :

« Dans not’ famill’ yaura l’déshonneur à présent !

La gueus’ ! vous voyez ben tous qu’i’ faut que j’l’assomme ! »

Et, solennel, tragique, il marche d’un pas lourd

Jusqu’à la pâle enfant… mais, pendant qu’il tempête,

Tendre, il lève et rabat le gourdin sur sa tête,

Bien doux, frôleusement, d’un geste plein d’amour.

« R’commenc’ras-tu ? fait-il, ou là, comme un’ vipère,

J’te coupe en deux ! j’t’écras’ la cervell’ sur ton drap ! »

Elle gémit : « Jamais, grand-père ! »

Alors, le jeune frère égrillard qui ricane,

Glapit : « Oh ! q’si fait ben, grand-père, a r’commenc’ra

Puisqu’elle est chaude comme un’ cane ! »

J’espère de cette sélection des poèmes les plus beaux et les plus connus sur les parents et grand-parents vous a plu.

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Poésie d’enfants pour papa et ma maman

La vérité sort de la bouche des enfants dit un célèbre proverbe. La poésie également chers amis ! Voici de beaux textes d’enfants et de messages écrits par un enfant pour ses parents où les personnes qu’il aime. Poème Enfance deux mots qui se marient à la perfection. De beaux textes d’hommage écrit pour une maman ou un papa.

Poème d’un enfant pour ses parents

Maman et Papa

Mes plus beaux poèmes

Ma maman dit que j’ai la peau belle et douce

Ma maman dit que j’ai une belle voix

Mon petit papa dit qu’il n’aime que moi

Mon petit papa dit qu’il veut que je pousse

Un poème pour ma maman pour son cœur

Une poésie pour ma maman tout en douceur

De tendres mots pour mon papa que j’aime

Des vers tendresse pour lui écrire un poème

Mes parents me protègent du vent de la vie

Mes parents, je suis votre enfant, votre envie

Tendres maman et papa, je vous écris mon amour

Des mots, des bisous pour vous deux tous les jours

Mes parents Je vous aime

Et ces beaux sentiments méritaient un poème !

Vous voulez lui dire je t’aime à l’occasion de son anniversaire : voici de beaux messages d’anniversaire pour une mère à envoyer de toute urgence à la femme de votre vie : Votre maman adorée !

L’amour d’une maman est le plus grand trésor

Beau poème pour maman à offrir à sa mère pour lui dire son amour et pour lui souhaiter une heureuse fête des mamans ou son anniversaire

Une maman c’est …

Une maman c’est un cadeau du ciel

Ses baisers sont doux comme le miel

Une maman nous comprend à demi-mot

Pour elle on est toujours comme un cadeau

Un cadeau que la vie lui à fait

Et que toute sa vie elle va aimer

Elle nous pardonne toutes nos erreurs

Toute sa vie, on est dans son cœur

L’amour d’une maman est le plus grand trésor

Certains s’en rendent compte seulement après sa mort!

Moi je ne sais pas toujours te le dire

Voilà pourquoi j’ai voulu te l’écrire

Je t’aime beaucoup maman

Et je voulais que tu le saches à présent.

Merci à Freesia pour cette hommage à sa maman…

Les plus beaux poèmes de la fête des mères à offrir à sa maman adorée !

Poème pour mon papa qui me manque tellement

Poésie pour mon père qui me manque

Il était mon plus précieux repère

Plus qu’un papa, ma lumière.

Un homme si bon, un mec au grand cœur.

Le plus grand des hommes, ma douceur.

Mais la vie est injuste et cruelle.

L’existence sans Toi et moins belle.

Ta mort papa m’a plongée dans le noir.

Ton départ Mon Père n’est qu’un au revoir.

L’amour d’un enfant pour son père est éternel.

Papa ! Tu veilles sur moi du haut du ciel.

Il me reste mes souvenirs d’enfance

Jours de joie vécus dans l’espérance.

Ton sourire, ta tendresse et ta bienveillance.

Ton affection et ton amour immense.

Tu as fait de moi le plus heureux des enfants.

Mon père chéri, je te dois tellement.

Pardonne-moi mes erreurs et ingratitudes.

Ton amour était ma seule certitude.

Aujourd’hui ton âme s’est envolée au paradis.

Je sais que tu es heureux dans cette nouvelle vie.

Tu peux être fier du papa que tu as été.

Mon enfance avec Toi a été un éternel été.

Ton amour paternel à été un cadeau du ciel.

Ton affection avait la douceur du miel.

Jamais je n’oublierai ce que tu as fait pour moi.

Mon père ! L’amour inconditionnel, Mon Roi !

Repose en paix dans ton paradis bien mérité.

Une juste récompense pour ta générosité.

Tu vis en mon cœur, je t’aime à jamais …

Merci d’avoir été ce papa de qualité !

Ta fille qui t’aime et qui ne t’oublie pas …

Les plus beaux messages de condoléances à envoyer à une amie ou un ami qui a perdu un proches.

La femme idéale – Ma maman unique

La seule femme idéale

Ma mère formidable

Pour tous ceux que mes histoires intéressent,

En voici une pas toute à fait banale.

Celle d’un homme qui couru sans cesse,

Afin de trouver la femme idéale.

Lorsqu’il naquit aux premières secondes,

Son regard vitreux se posa ici :

Sur le seul être unique en ce monde,

Celui qui bien sûr lui donna la vie.

D’une mère, quoi de plus beau que l’amour,

Certes, vous ne me contredirez pas !

On voudrait pouvoir la garder toujours,

Sachant que nulle épouse ne le remplacera.

Cet homme, bien plus qu’un autre ambitieux,

Se mit en quête alors de rechercher,

Celle-là qu’aucun, ni pas même un dieu,

Durant son existence n’a pu dénicher.

Il en a passé des jours, des semaines,

Aussi des mois et encore des années,

Ne regardant ni ses sous ni sa peine ;

D’ailleurs, souvent, il crut l’avoir trouvé.

Il a ainsi fait tout le tour de la terre.

A chaque escale, dans chaque port,

Dans pleins de pays au-delà des mers,

Il l’a cherchée comme on cherche un trésor.

Que perte d’illusions et beaucoup de peine

Pour des filles en bien de point ressemblant,

Rendons à chacune la place qui est sienne,

Car tout est vanité et poursuite de vent.

Après avoir expérimenté quelques bien-aimées

Il revient à une éternelle réalité.

La seule femme idéale digne d’être aimée

Est la fille par laquelle il est né …

Sa mère chérie, sa maman adorée !

Après ces beaux textes d’hommage à ses parents, poursuivez votre lecture poétique avec ses beaux poèmes d’amour pour une femme ou une fille. Toujours le thème de l’amour voici de belles poésies d’amour pour lui dire je t’aime de la plus romantique des façons.

51 choses pour lesquelles vous voulez dire merci à vos parents

Marie-Claire Blais a écrit : “Tout le monde a de bons parents, il suffit de leur parler.” C’est pourquoi, aujourd’hui, nous avons décidé de mettre à l’honneur les personnes qui vous ont donné la vie, celles qui seront toujours là pour vous, quoiqu’il arrive. Car nous avons tendance à oublier toutes les choses qu’ils font pour nous. En voici 51 pour lesquelles on ne dit jamais merci alors que l’on devrait.

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Comme tout le monde, avant le mariage ou même après, il vous arrive d’être à fleur de peau. Reconnaissez qu’à ces moments-là vous n’êtes pas toujours aussi affectueuse et agréable que vous le voudriez, en particulier avec eux : papa et maman. Pourtant, ils sont deux des personnes les plus importantes de votre vie. Il est maintenant temps de les remercier tous les deux :

1. Merci de m’avoir donné la vie.

2. D’avoir eu la patience de m’apprendre à marcher, parler pour me permettre de vivre pleinement chaque instant.

3. De m’avoir appris à surmonter mes peurs et d’être là quand cela est nécessaire.

4. De m’obliger à faire quelque chose pour mon propre bien.

5. Merci de prendre toujours soin de moi.

6. De rendre les dates importantes toujours spéciales, d’une façon ou d’une autre.

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