You are looking for information, articles, knowledge about the topic nail salons open on sunday near me où se trouve le village de martel on Google, you do not find the information you need! Here are the best content compiled and compiled by the https://toplist.giarevietnam.vn team, along with other related topics such as: où se trouve le village de martel visiter martel, martel carte, martel lot, martel plus beau village de france, martel photos, cascade de martel, martel marché, restaurant martel
Table of Contents
Martel : visiter Martel. Visites, restaurants, hébergements
- Article author: www.vallee-dordogne.com
- Reviews from users: 13959
Ratings
- Top rated: 3.2
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about Martel : visiter Martel. Visites, restaurants, hébergements Updating …
- Most searched keywords: Whether you are looking for Martel : visiter Martel. Visites, restaurants, hébergements Updating Découvrir Martel, Plus Beau Village de France. Guide de visite, restaurants, hébergements, points d’intérêts, points de vues, randos
- Table of Contents:
Martel ville gourmande
Un nouvel essor
Ou manger
A voir à faire
A voir à faire à Martel
A voir à faire à moins de 10 minutes de Martel
A faire quand il pleut à Martel
A faire en famille à Martel
Sur le même sujet

Martel (Lot) — Wikipédia
- Article author: fr.wikipedia.org
- Reviews from users: 31715
Ratings
- Top rated: 4.0
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about Martel (Lot) — Wikipédia Updating …
- Most searched keywords: Whether you are looking for Martel (Lot) — Wikipédia Updating
- Table of Contents:
Géographie[modifier modifier le code]
Urbanisme[modifier modifier le code]
Toponymie[modifier modifier le code]
Histoire[modifier modifier le code]
Galerie[modifier modifier le code]
Politique et administration[modifier modifier le code]
Démographie[modifier modifier le code]
Économie[modifier modifier le code]
Lieux et monuments[modifier modifier le code]
Culture et éducation[modifier modifier le code]
Personnalités liées à la commune[modifier modifier le code]
Héraldique[modifier modifier le code]
Jumelages[modifier modifier le code]
Panoramique[modifier modifier le code]
Notes et références[modifier modifier le code]
Voir aussi[modifier modifier le code]
MARTEL – Carte plan hotel village de Martel 46600 – Cartes France.fr
- Article author: www.cartesfrance.fr
- Reviews from users: 27010
Ratings
- Top rated: 3.6
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about MARTEL – Carte plan hotel village de Martel 46600 – Cartes France.fr Martel est un village du sud de la France. Le village est situé dans le département du Lot en région Mi-Pyrénées. Le village de Martel appartient à … …
- Most searched keywords: Whether you are looking for MARTEL – Carte plan hotel village de Martel 46600 – Cartes France.fr Martel est un village du sud de la France. Le village est situé dans le département du Lot en région Mi-Pyrénées. Le village de Martel appartient à … Informations administratives et touristiques du village de Martel (46600 Lot) : Hotels proches, carte routière, mairie…Martel, carte de Martel, carte france de Martel, carte de france de Martel, commune de Martel, ville de Martel, code postale de Martel 46600, photos de Martel, hotel Martel, plan de Martel, imprimer plan de Martel, météo de Martel, carte postale de Martel, mairie de Martel
- Table of Contents:
Village de Martel
Hotel Martel
Carte et plan de Martel
Imprimer le plan ou la carte de Martel
Photos de Martel
Carte météo Martel
Mairie de Martel
Résultats élections Martel
Habitants et logements de Martel
Rang et classement du village de Martel
Plus d’informations sur Martel
Autres cartes plans hotels et villes de france
Rejoignez l’actualité Carte de France sur Facebook

MARTEL – Carte plan hotel village de Martel 46600 – Cartes France.fr
- Article author: www.tourisme-lot.com
- Reviews from users: 26711
Ratings
- Top rated: 4.0
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about MARTEL – Carte plan hotel village de Martel 46600 – Cartes France.fr Updating …
- Most searched keywords: Whether you are looking for MARTEL – Carte plan hotel village de Martel 46600 – Cartes France.fr Updating Informations administratives et touristiques du village de Martel (46600 Lot) : Hotels proches, carte routière, mairie…Martel, carte de Martel, carte france de Martel, carte de france de Martel, commune de Martel, ville de Martel, code postale de Martel 46600, photos de Martel, hotel Martel, plan de Martel, imprimer plan de Martel, météo de Martel, carte postale de Martel, mairie de Martel
- Table of Contents:
Village de Martel
Hotel Martel
Carte et plan de Martel
Imprimer le plan ou la carte de Martel
Photos de Martel
Carte météo Martel
Mairie de Martel
Résultats élections Martel
Habitants et logements de Martel
Rang et classement du village de Martel
Plus d’informations sur Martel
Autres cartes plans hotels et villes de france
Rejoignez l’actualité Carte de France sur Facebook

Martel, l’un des Plus Beaux Villages de France en Quercy
- Article author: www.les-plus-beaux-villages-de-france.org
- Reviews from users: 25848
Ratings
- Top rated: 4.6
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about
Martel, l’un des Plus Beaux Villages de France en Quercy
Updating … - Most searched keywords: Whether you are looking for
Martel, l’un des Plus Beaux Villages de France en Quercy
Updating Découvrez Martel (Lot), cité marchande et gourmande du Lot en Quercy: patrimoine, lieux de visite, bonnes adresses pour votre séjour…Martel, Plus Beaux Villages de France, Quercy - Table of Contents:
Thèmes
Halle de Martel
Musée de la Raymondie
Le train à vapeur de Martel – Le Truffadou
Se repérer à Martel
À voir à faire à proximité de Martel
Réserver votre séjour à Martel

Découvrez Martel, la cité du Lot aux 7 tours
- Article author: www.sarlat-tourisme.com
- Reviews from users: 12391
Ratings
- Top rated: 3.1
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about Découvrez Martel, la cité du Lot aux 7 tours Updating …
- Most searched keywords: Whether you are looking for Découvrez Martel, la cité du Lot aux 7 tours Updating Martel et son petit train à vapeur, étape incontournable de votre excursion dans le département du Lot, proche de Sarlat et du Périgord Noir. Une autre
- Table of Contents:
La ville de Martel
Le marché de Martel halte gourmande
Que visiter à Martel et ses alentours
Vous aimerez aussi

Site officiel de la ville de MARTEL
- Article author: www.martel.fr
- Reviews from users: 45501
Ratings
- Top rated: 4.2
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about Site officiel de la ville de MARTEL Présentation du village de Martel, situé au Nord du Département du Lot et à seulement 1h de sa préfecture qui est Cahors … > en voiture par l’autoroute A20 : … …
- Most searched keywords: Whether you are looking for Site officiel de la ville de MARTEL Présentation du village de Martel, situé au Nord du Département du Lot et à seulement 1h de sa préfecture qui est Cahors … > en voiture par l’autoroute A20 : … Martel se situe au nord du Lot à 1h00 de Cahors, sa préfecture et à 30 minutes de Brive la Gaillarde sa voisine corrézienne. De son riche passé, Martel a conservé une silhouette agrémentée de 7 tours et de majestueux monuments. Il fait bon se laisser happer par ses rues étroites bordées de maisons anciennes.
- Table of Contents:

Martel, Lot-Dordogne, la ville des sept tours
- Article author: www.northofthedordogne.com
- Reviews from users: 47239
Ratings
- Top rated: 3.6
- Lowest rated: 1
- Summary of article content: Articles about Martel, Lot-Dordogne, la ville des sept tours Updating …
- Most searched keywords: Whether you are looking for Martel, Lot-Dordogne, la ville des sept tours Updating Visitez la belle ville de Martel, avec ses sept tours – tourisme et loisir
- Table of Contents:
Martel Lot-Dordogne la ville des sept tours
Visiter Martel
Explorer Martel
Photos de Martel
Carte de Martel et lieux à visiter
Martel lieux à visiter

See more articles in the same category here: Top 312 tips update new.
Martel (Lot) — Wikipédia
Martel (en occitan languedocien Martèl) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le nord du département du Lot en région Occitanie. Parfois appelée « la ville aux sept tours », Martel est une toute petite cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne, qui fut durant plus de cinq siècles la capitale de la partie quercynoise de la vicomté de Turenne. Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne, la Tourmente, le Vignon et par deux autres cours d’eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Dordogne quercynoise »), deux espaces protégés (le « cours lotois de la Dordogne » et les « falaises lotoises (rapaces) ») et cinq zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Martel est une commune rurale qui compte 1 625 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 3 450 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Martelais ou Martelaises.
Martel comptait 1 625 habitants en 2019. Chef-lieu d’un des 17 cantons du département du Lot redéfinis en janvier 2014 , elle a rejoint au 1er janvier 2015 la Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne.
La commune fait partie de l’association Les Plus Beaux Villages de France.
La commune de Martel est située en Quercy, dans le nord-ouest du Lot, en plein cœur du causse qui porte son nom, dans le Haut Quercy. Martel se situe aux confins de deux régions : Occitanie et Nouvelle-Aquitaine, à proximité de Rocamadour, Souillac, Saint-Céré, Carennac, Brive-la-Gaillarde, Collonges-la-Rouge, Turenne, Sarlat, Eyrignac, et du gouffre de Padirac.
La commune est bordée au sud par la Dordogne, et brièvement à l’est par son affluent; la Tourmente.
Carte de la commune de Martel et des proches communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000 [ 2 ] Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,5 j
: 4,5 j Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
: 9,5 j Amplitude thermique annuelle [ Note 2 ] : 15,6 °C
: Cumuls annuels de précipitation : 997 mm
Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cressensac », sur la commune de Cressensac-Sarrazac, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à 10 km à vol d’oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 021,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 25 km [10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité [ modifier | modifier le code ]
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d’une superficie de 507 000 ha reconnu réserve de biosphère par l’UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Deux autres espaces protégés sont présents sur la commune :
Réseau Natura 2000 [ modifier | modifier le code ]
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[21], d’une superficie de 5 567 ha , qui présente des milieux aquatiques d’intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d’espèces de l’annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[22].
Zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique [ modifier | modifier le code ]
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23] :
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha ), couvrant 28 communes[Note 7] : deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[28].
Martel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[Note 8],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols [ modifier | modifier le code ]
Carte des infrastructures et de l’occupation des sols de la commune en 2018 ( CLC ).
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (60,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (29,9 %), forêts (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), zones urbanisées (2,6 %), eaux continentales[Note 9] (1,4 %), cultures permanentes (1,2 %), terres arables (1,1 %)[34].
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini ( XVIIIe siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Martel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d’un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d’évaluer simplement et rapidement les risques d’un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d’eau, notamment la Dordogne et la Tourmente. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie [37]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1992, 1993, 1999 et 2001[38],[35].
Martel est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le 30 novembre 2015 pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d’arbres) constituant une dépendance d’habitation[39].
Carte des zones d’aléa retrait-gonflement des sols argileux de Martel.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[40]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l’inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d’engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 062 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 018 sont en en aléa moyen ou fort, soit 96 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l’exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[42],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l’inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[35].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l’environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[43].
La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 10] disposant d’une retenue de respectivement 133 millions[45] et 477 millions de mètres cubes[46],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces ouvrages[47].
Le toponyme Martel est basé sur un anthroponyme, un surnom donné à une personne : martèl qui combat avec une masse d’armes. Mot issu du latin martellus[48].
Sur la planète Mars, de février 2021 à avril 2021 , une colline [6] constituant l’un des affleurements rocheux les plus remarquables étudiés par l’astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d’après le “Mont Mercou” qui se trouve sur la commune[49],[50],[51],[52],[53].
La devise tirée des Églogues de Virgile, « Deus nobis haec otia fecit »[54]… « Dieu nous a donné ce lieu de plaisir, repos », qui figure sur le linteau d’une fenêtre du seul bâtiment subsistant du Grenier de la cité, dit « d’Abondance », ou la vieille devise « Heureux comme un Viscomtin, fier comme un Martelais », voire la vieille expression martelaise « ni trop petite, ni trop grande » expriment à elles seules une certaine singularité de l’histoire de la petite cité de Martel.
La légende de Charles Martel, maire du palais et grand-père de Charlemagne, fondant la ville autour de son église dédiée à saint Maur, pour commémorer une bataille gagnée contre les Sarrazins, ou bien dans le cadre de son conflit avec Eudes, duc d’Aquitaine, ne semble être qu’un conte érigé pour asseoir la fierté des Martelais[54] à partir du XVIe siècle. En effet, dans les sources manuscrites, aucune mention attestant d’un lien avec Charles Martel n’apparaît avant le XVIe siècle, et cette thèse sera plutôt reprise au XIXe siècle à l’heure de la reconstruction des romans nationaux initiée par Louis Philippe. Pierre Riché dans son ouvrage “les Carolingiens, une famille qui fit l’Europe”, avance la thèse qu’Abd el-Rahman n’aurait pas été tué à la Bataille de Poitiers mais aurait simplement reflué vers ses bases arrière de Narbonne, que poursuivi par les troupes franques de Charles Martel, il aurait été tué et son armée exterminée à Loupchat, à 3 kilomètres du centre actuel de Martel, en 733. Toujours selon Pierre Riché, ce serait d’ailleurs à la suite de cette victoire que Charles fut surnommé Martel (en ancien français et en occitan signifie « marteau »), puisqu’il avait violemment écrasé les troupes musulmanes, tel un marteau — le « marteau d’armes » étant aussi une arme de combat. Or, il aurait été ainsi nommé de façon posthume. De plus, Martel n’ayant été fondée qu’au XIe siècle, avec peu de certitudes quant à ses origines, la relation directe entre la création de la cité et le maire du palais n’est donc pas évidente. Il pourrait éventuellement en être autrement pour le nom de la cité, les légendes des origines, même infondées, étant fréquentes au Moyen Âge, mais là encore rien de certain.
C’est en se basant sur cette légende que François, le narrateur du roman Soumission de Michel Houellebecq vient se retirer au début du livre dans la cité de Martel.
Martel est une ville neuve créée entre le XIe et le milieu du XIIe siècle, possédée par le vicomte de Turenne à partir de 1183, et sans lien attesté avec la légende de Charles Martel.
La géographie du plateau de Martel, l’absence de vestiges archéologiques celtes ou de château médiéval sur le centre bourg, et le cartulaire des abbayes de la région indiquent que la cité n’est ni un oppidum celte ou « gaulois », même si elle se situe à côté de l’un des derniers oppidums gaulois à 6 km à l’est, Uxellodunum, ni un vicus (petit bourg) ou une villa gallo-romaine, ni une ville abbatiale comme Souillac fondée autour d’une abbaye, ni un bourg « castral », autour d’un logis seigneurial.
Si Souillac est fondée en 930, Martel n’existe pas à cette époque. Aucune mention dans le cartulaire de Tulle ou de Beaulieu pour cette période.
La première mention de Martel, Martell, Martellum dans un document apparaît dans le cartulaire de l’Abbaye d’Aubazine à partir de 1142, et dans l’histoire des vicomtes de Turenne. Le vicomte de Turenne y est présenté comme coseigneur de Martel avec le vicomte de Brassac. Il en devient l’unique seigneur et donc l’unique protecteur quand Raymond II de Turenne achète la vicomté de Brassac avant 1183. En 1153, Martel possède ses propres mesures. En 1154, des marchands font don à l’abbaye d’Obazine de biens possédés à Martel et aux environs. La Vie de saint Étienne d’Obazine, fondateur de l’abbaye, écrite vers 1180, après sa mort (1159), précise aussi l’existence d’une maison « hors les murs » destinée aux frères d’Obazine et aménagée pour « l’achat et la vente » des marchandises, actuelle place de la Rode. Dans ces sources d’abbayes, on apprend aussi l’existence d’une église dédiée à sainte Madeleine, que cette église a dû être créée par le doyen de Souillac entre 900 et 1100, et que la première église romane Saint-Maur a été construite aux alentours de 1150, vraisemblablement à l’initiative du doyen de Souillac.
L’attrait économique de sa position géographique, attesté par l’implantation d’une maison « hors les murs » de l’abbaye d’Obazine au milieu du XIIe siècle, les moines étant connus pour leur pragmatisme logistique et économique, en a très certainement fait une cité « carrefour » au croisement de la route royale Paris-Toulouse qui passait à proximité de Martel et Gramat avant le XVIIe siècle issue de l’antique voie gallo-romaine reliant Paris au midi de la France, et de la route du sel reliant Bordeaux et l’Atlantique vers Aurillac. Ce sel était remonté sur la Dordogne par les gabariers jusqu’à Souillac où il était déchargé, puis suivait l’axe terrestre Martel-Vayrac jusqu’à l’Auvergne.
Dans l’histoire des vicomtes de Turenne[55], on trouve trace d’un conflit entre les bourgeois de la cité et le vicomte, les Martelais allant jusqu’à oser emprisonner le vicomte. C’est à la suite de ce conflit que les Martelais auraient obtenu du vicomte une charte de franchises, les exonérant d’impôts, en 1219 qui est à l’origine de la prospérité de la cité[56].
On y relate aussi un épisode majeur de l’histoire de la petite cité en 1183, où Martel dut accueillir Henri le Jeune, co-roi d’Angleterre et frère aîné de Richard Cœur de Lion, qui mourut dans l’hôtel Fabri après avoir pillé Rocamadour afin de pouvoir payer ses troupes[56].
Les plus anciens vestiges attestés remontent aux XIe et XIIe siècles : des murs de maisons ou d’enceintes, des murs et le tympan de l’église Saint-Maur actuelle, qui était le tympan de la première église romane Saint-Maur. La tour romane carrée ou Tournemire date elle du tout début du XIIIe siècle. De même, la construction de la Raymondie a débuté au XIIIe siècle. À noter qu’aucune trace de castrum ou logis seigneurial datant du XIe ou XIIe siècle n’a été détectée ni dans les textes, ni dans le bâti.
Le Grand Sceau de Martel, appendu dans un acte de 1309, fait apparaître au recto un clocher, une tour et des remparts crénelés et ouverts ressemblants plus à une enceinte qu’à un castrum, et au verso un cavalier tenant bouclier et bannière aux armes de Turenne. Le sceau figurant les fameux marteaux de maréchal-ferrant, les « martell » n’apparaissant qu’ultérieurement. La mention dans les textes à la légende de Charles Martel n’apparaît qu’à partir du XVIe siècle et est développée au XIXe siècle.
L’existence d’anciennes croix et de l’église dédiée à sainte Madeleine peut laisser penser à une « sauveté paroissiale » autour de l’église Sainte-Madeleine. Il peut aussi s’agir d’une cité « carrefour de commerce » entre l’ancienne voie gallo-romaine devenue route royale et la route du sel vers l’Auvergne, puis la route du pèlerinage de Rocamadour, qu’empruntèrent Saint Louis et sa mère, Blanche de Castille qui passèrent par Martel en 1244. Pour des raisons d’ordre démographique et économique, il est peu probable que la paroisse et l’église Sainte-Madeleine aient été créées ex nihilo.
L’hypothèse la plus généralement retenue est que la cité est simplement née de son intérêt géographique et commercial en tant que carrefour, et s’est développée autour de son marché et de des mesures, sur la route du sel et de l’axe de la transhumance du bétail entre les plateaux du Limousin et du Quercy, essentiellement via l’ingéniosité et la réussite de ses marchands, notamment de bestiaux. Le positionnement du bourg en Quercy, à proximité de la Dordogne et d’un port au sel, proche de Rocamadour et de son pèlerinage, dans la partie Sud de la vicomté de Turenne, son attrait pour l’abbaye d’Obazine qui y crée une maison « hors les murs » sont au cœur de ses origines.
Une tentative d’explication pourrait être que sur un territoire de vive concurrence entre les nombreuses abbayes de la région : Beaulieu, Obazine, Souillac… et les puissantes vicomté de Turenne et baronnie de Gramat, nul doute que son emplacement permettant de contrôler l’accès à la Dordogne et de la route du sel aux confins sud de la vicomté de Turenne au XIe siècle, et sa fonction de commerce étaient stratégiques pour le vicomte afin d’asseoir et de valoriser son fief par le sud, sécuriser la transhumance de son bétail et tirer parti du commerce du sel, l’incitant à développer la bourgade quitte à octroyer une exonération fiscale et une grande autonomie à ses marchands via la charte de 1219, à défaut de pouvoir la contrôler exactement comme il l’aurait souhaité, comme le récit de ses conflits avec Martel l’atteste.
Quant à l’origine du nom Martellum, Martel, nulle certitude. Certains y voient un lien avec sainte Madeleine, d’autres avec saint Maur, d’autres encore avec les martells, marteaux du maréchal-ferrant. De là à penser que la cité s’est constituée autour de l’établissement d’un maréchal-ferrant de grande réputation, puisqu’on découvre dans l’histoire des vicomtes de Turenne[55], que ce dernier y organisa une course de chevaux en 1184, il n’y a qu’un pas, mais ce n’est que spéculation.
Martel dans le temps [ modifier | modifier le code ]
Gouvernée comme la majorité des cités du midi par des consuls élus annuellement, Martel a été au cœur des territoires impactés par la guerre de cent ans, entre Aquitaine, anglaise, et vassaux du roi de France. Martel dut se fortifier pour affronter ces temps troublés. La première enceinte remonte au XIIe siècle. La seconde enceinte fut construite au XIVe siècle au début de la guerre de Cent Ans[56]. Durant celle-ci, la région était infestée de compagnies franches au service du roi d’Angleterre. Malgré la présence des mercenaires anglais, notamment au château de Montvalent, la cité ne sera jamais prise militairement grâce aux talents de négociation de ses consuls, qui surent acheter la sécurité de la cité comme il était de coutume en ces temps troublés. Les cités voisines, notamment Gramat n’eurent pas cette chance.
Le traité de Brétigny en 1360 la livra cependant aux Anglais. Du Guesclin la reprendra militairement en 1374. Martel fut donc anglaise 14 ans.
Au Moyen Âge, Martel est connue pour ses nombreux marchands de blé, de sel et de bestiaux ainsi, que pour sa sénéchaussée royale, à la fois circonscription fiscale et cour de justice, présidée par un lieutenant-général de la sénéchaussée.
La cité était réputée comme prospère dès le XIVe siècle comme peut en attester l’implantation de l’ordre des Cordeliers, qui construisit un couvent en bordure nord de la deuxième enceinte. Ce couvent fit partie des 284 couvents des Cordeliers fermés en 1790. Sa tour qui atteignait 35 mètres fut tronquée à la révolution et ne fait plus que 25 mètres aujourd’hui. Ce bâtiment excentré fut investi par la gendarmerie nationale au XIXe siècle.
Au regard de ses vestiges architecturaux, de la qualité et de la taille de ses maisons de marchands et hôtels nobles (Raymond, Stephani, Briance, Fabri, Faure, Mirandol, Arcambal, Blanat…) datés des XIIIe au XVe siècle, de l’implantation attestée de nombreux marchands, de l’absence d’élément remarquable des XVIIe à la fin du XVIIIe , malgré quelques exceptions concernant les grandes familles de la fin de l’Ancien Régime, de Lachèze-Murel, d’Arliguie de Boutières, du Puy, Lachièze-Rey, la ville connut son âge d’or du XIVe au XVe , puis s’endormit jusqu’au XXe , ce qui explique que la cité soit globalement préservée.
La cité accueillit en ses murs de nombreux ordres religieux et hospices, prit le parti catholique durant les guerres de religion, alors que le vicomte était protestant. Puis les consuls durent accueillir et approvisionner l’armée royale[56] d’Henri IV, et dépenser, pour ce faire, plus d’une année de revenus de la cité qui mettra plusieurs années à s’en remettre économiquement.
C’est d’ailleurs à cette époque que sa dimension de « carrefour » perd de son intérêt, de nouvelles routes de commerce s’étant développées à partir de la fin du XVIe dans la région, la route royale Paris-Toulouse ne passant plus par Martel à partir du XVIIe siècle. Il semblerait que la cité sorte de son âge d’or sous le règne des Bourbons, se repliant sur ses hommes de loi et sa sénéchaussée royale.
Lorsque Charles-Godefroy de la Tour d’Auvergne, petit-neveu d’Henri de la Tour d’Auvergne-Bouillon, dit le Grand Turenne, cède à Louis XV la vicomté de Turenne, le 8 mai 1738 , pour honorer le paiement de ses dettes de jeu, Martel perd de son autonomie (la vicomté de Turenne était le dernier fief français, c’est-à-dire un État dans l’État). À la suite de cette vente, les Viscomtins, dorénavant directement rattachés au domaine royal, sont alors contraints à l’impôt et les familles issues de la noblesse de vicomté durent se faire confirmer dans la noblesse du royaume de France. Dès lors Martel décline lentement et ce jusqu’à la Révolution. Lors de celle-ci, la sénéchaussée, qui avait déjà perdu beaucoup de prérogatives face aux gouvernements et parlements, est supprimée privant une grande partie de la bourgeoisie et de la petite noblesse de robe de leurs charges, les incitant à quitter la cité. La population diminue légèrement à partir du XVIIIe siècle, puis de façon plus accentuée à partir de 1870, et ce jusque vers les années 1980.
Le commerce de la truffe permettra à la petite cité de rebondir économiquement du XIXe jusqu’au début du XXe siècle, notamment grâce au chemin de fer à partir de la fin du XIXe . Le marché aux truffes de Noël 1904 verra changer de mains plus de 20 tonnes d’or noir. Colette écrivit dans son recueil Prisons et Paradis, « J’ai chassé la truffe à Martel, dans le Lot, et je tenais la laisse d’une petite truie, une artiste en son genre, qui flairait la truffe souterraine, la délogeait d’un groin inspiré, avec des cris, des élans brusques et toutes les manières, ma foi, d’une somnambule. À chaque trésor trouvé, l’intelligente petite truie levait la tête et quémandait sa récompense, une poignée de maïs. »
La Révolution et le XIXe siècle furent le temps de l’émergence d’une grande famille de Républicains en son sein, les Lachièze avec Pierre Lachièze (1743-1818) avocat, maire de Martel pendant la Révolution (1792-1795), président de l’Assemblée départementale, député à la Législative et au Conseil des Anciens et au Corps législatif[57], Pierre-Marcelin Lachièze (1807-1885), avocat, fondateur sous la monarchie de Juillet du journal républicain le Radical du Lot[58], Albert Lachièze, (1840-1925) maire de Martel de 1877 à 1925, député du Lot de 1889 à 1906[59], famille qui s’allia avec le sénateur Émile Rey, ami de Léon Gambetta et grande figure républicaine. En cette période de fervents tumultes institutionnels que connaissait la France, le Lot donna ou accueillit des hommes politiques de premier plan comme Léon Gambetta, Gaston Monnerville, Maurice Faure, Bernard Pons, ou encore Georges Pompidou à titre privé. Le virulent combat républicain fut personnifié à Martel entre les Lachièze d’un côté, et les royalistes Lachèze de Murel, première famille noble de Martel au XVIIIe , Labrunie-Laprade et d’Arliguie de Boutières de l’autre, ces deux dernières familles ayant donné deux maires pour 3 mandats chacune au XIXe siècle.
Au début du XXe siècle, le Cercle Dars où tous les hommes de bonne famille se réunissaient pour boire et jouer était réputé à 10 lieues à la ronde. C’est durant l’entre deux guerres qu’Henri Ramet, premier président de la Cour d’Appel de Toulouse, fut élu maire de 1935 à 1941. Il fut le second, après le chanoine Serrurier au XIXe siècle, à tenter de retranscrire l’histoire de Martel avec son livre Martel, un coin du Quercy[60].
Durant la Seconde Guerre mondiale, la cité parvint à éviter les troubles du temps. Relaté par Jacques Miffre[54], tout jeune médecin à Martel à cette époque, André Malraux, alors maquisard, vint s’y réfugier à plusieurs reprises. Anna Delvert[54], propriétaire de la conserverie et de toutes les terres derrière la Fontanelle organisa un système d’approvisionnement alimentaire à faible coût, qui permit aux Martelais de ne souffrir ni de la faim pour les plus pauvres, ni du marché noir pour les autres.
L’économie du XXe siècle, y sera très limitée du fait de l’exode rural et du déplacement de la truffe vers le Sud du Lot (Lalbenque) et ne sera marquée que par la petite conserverie industrielle Delvert[54](1908-1981), coupe d’or du bon goût français 1970, fournisseur de Fauchon et Félix Potin, par son marché, la distillation de la lavande du Quercy, et plus récemment par l’entreprise Solev, rachetée par le groupe Pochet en 2011.
La gare de Martel sur le parcours de la ligne Bordeaux-Aurillac a été fermée en 1980 mais depuis 1997 un train touristique exploite la ligne Martel – Saint-Denis-près-Martel.
La ville aux sept tours.
Vue de l’est.
Vue du sud.
Hôtel de la Raymondie.
Quatre des sept tours.
Tour Mirandol.
Martel au lever de soleil.
Politique et administration [ modifier | modifier le code ]
Tendances politiques et résultats [ modifier | modifier le code ]
Cette section est consacrée aux finances locales de Martel de 2000 à 2018[Note 11].
Les comparaisons des ratios par habitant sont effectuées avec ceux des communes de 500 à 2 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé, c’est-à-dire à la même strate fiscale.
Pour l’exercice 2018, le compte administratif du budget municipal de Martel s’établit à 1 935 430 € en dépenses et 2 142 330 € en recettes :
les dépenses se répartissent en 1 534 030 € de charges de fonctionnement et 401 400 € d’emplois d’investissement ;
de charges de fonctionnement et 401 400 d’emplois d’investissement ; les recettes proviennent des 1 801 290 € de produits de fonctionnement et de 341 040 € de ressources d’investissement.
Évolution du fonctionnement et de l’investissement de 2000 à 2018 [ modifier | modifier le code ]
G0a – Évolution de la section fonctionnement de Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : Produits Charges
G0b – Évolution de la section investissement de Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : Emplois Ressources
T1p – Section de fonctionnement de Martel en 2018 Martel
(€/hab.) Strate
(€/hab.) Résultat comptable 162 € 146 € Charges de personnels 487 € 274 € Achats et charges ext. 316 € 198 € charges financières 37 € 18 € subventions versées 14 € 26 € contingents 3 € 45 € Impôts locaux 406 € 307 € dotation globale de fonctionnement 135 € 147 € Autres impôts 56 € 51 € Écart par rapport à la moyenne de la strate :
de 0 à 10 % ; de 10 à 30 % ; supérieur à 30 %
Pour Martel en 2018, la section de fonctionnement[Note 12] se répartit en 1 534 030 € de charges (930 € par habitant) pour 1 801 290 € de produits (1 092 € par habitant), soit un solde de la section de fonctionnement de 267 270 € (162 € par habitant) :
La dotation globale de fonctionnement est quasiment égale à celle versée en 2017.
Évolution des produits et charges de fonctionnement de 2000 à 2018 [ modifier | modifier le code ]
G1a – Évolution des produits de fonctionnement pour Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : Impôts Locaux autres impôts et taxes dotation globale de fonctionnement
G1b1 – Évolution des charges de personnel et externes pour Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : Charges de personnel achats et charges externes
G1b2 – Évolution des charges financières et des subventions versées pour Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : charges financières subventions versées
Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Martel. Ils sont quasiment égaux à ceux de 2017 :
T3p – Investissement de Martel en 2018 Martel
(€/hab.) Strate
(€/hab.) Remboursements d’emprunts 163 € 68 € Dépenses d’équipement 79 € 307 € subventions reçues 86 € 81 € fctva 11 € 36 € Nouvelles dettes 0 € 70 € Écart par rapport à la moyenne de la strate :
de 0 à 10 % ; de 10 à 30 % ; supérieur à 30 %
Cette section détaille les investissements[Note 21] réalisés par la commune de Martel.
Les emplois d’investissement en 2018 comprenaient par ordre d’importance :
des remboursements d’emprunts [ Note 22 ] pour 270 000 € (67 %), soit 163 € par habitant, ratio supérieur de 140 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (68 € par habitant). Pour la période allant de 2014 à 2018, ce ratio fluctue et présente un minimum de 156 € par habitant en 2016 et un maximum de 192 € par habitant en 2015 ;
pour 270 000 (67 %), soit 163 par habitant, ratio supérieur de 140 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (68 par habitant). Pour la période allant de 2014 à 2018, ce ratio fluctue et présente un minimum de 156 par habitant en 2016 et un maximum de 192 par habitant en 2015 ; des dépenses d’équipement [ Note 23 ] pour une valeur de 131 000 € (33 %), soit 79 € par habitant, ratio inférieur de 74 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (307 € par habitant).
Les ressources en investissement de Martel se répartissent principalement en :
subventions reçues pour une somme de 143 000 € (42 %), soit 86 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 23 € par habitant en 2016 et un maximum de 155 € par habitant en 2014 ;
(42 %), soit 86 par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 23 par habitant en 2016 et un maximum de 155 par habitant en 2014 ; fonds de compensation pour la TVA pour un montant de 18 000 € (5 %), soit 11 € par habitant, ratio inférieur de 69 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (36 € par habitant).
Évolution de l’investissement de 2000 à 2018 [ modifier | modifier le code ]
G3a – Évolution des emplois d’investissement pour Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : Dépenses d’équipement Remboursements d’emprunts
G3b – Évolution des ressources d’investissement pour Martel Valeurs en millier d’euros (k€)
Martel, Valeur totale : Nouvelles dettes subventions reçues Fonds de compensation pour la TVA
T4p – Endettement et capacité d’autofinancement de Martel en 2018 Martel
(€/hab.) Strate
(€/hab.) Encours de la dette 1 278 € 615 € annuité de la dette 199 € 86 € Capacité d’autofinancement 179 € 156 € Écart par rapport à la moyenne de la strate :
de 0 à 10 % ; de 10 à 30 % ; supérieur à 30 %
L’endettement de Martel au 31 décembre 2018 peut s’évaluer à partir de trois critères : l’encours de la dette[Note 24], l’annuité de la dette[Note 25] et sa capacité de désendettement[Note 26] :
l’encours de la dette pour une valeur de 2 108 000 € , soit 1 278 € par habitant, ratio supérieur de 108 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (615 € par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio diminue de façon continue de 1 774 € à 1 277 € par habitant ;
, soit 1 278 par habitant, ratio supérieur de 108 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (615 par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio diminue de façon continue de 1 774 à 1 277 par habitant ; l’annuité de la dette pour une valeur totale de 328 000 € , soit 199 € par habitant, ratio supérieur de 131 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (86 € par habitant). Pour la période allant de 2014 à 2018, ce ratio fluctue et présente un minimum de 198 € par habitant en 2018 et un maximum de 252 € par habitant en 2015 ;
, soit 199 par habitant, ratio supérieur de 131 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (86 par habitant). Pour la période allant de 2014 à 2018, ce ratio fluctue et présente un minimum de 198 par habitant en 2018 et un maximum de 252 par habitant en 2015 ; la capacité d’autofinancement (CAF) pour une somme de 296 000 € , soit 179 € par habitant, ratio supérieur de 15 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (156 € par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 89 € par habitant en 2017 et un maximum de 179 € par habitant en 2018. La capacité de désendettement est d’environ 7 années en 2018. Sur une période de 19 années , ce ratio présente un minimum d’environ 3 années en 2008 et un maximum élevé d’un montant de 15 années en 2017.
Évolution de la capacité d’autofinancement (CAF) et de l’encours de la dette de 2000 à 2018 [ modifier | modifier le code ]
Les courbes G4a et G4b présentent l’historique des dettes de Martel.
G4a – Capacité d’autofinancement et encours total de la dette de Martel Valeurs en euros
Martel, Par habitant : CAF Encours total de la dette
G4b – Nombre d’années pour rembourser la dette en fonction de la CAF de Martel Valeurs en années
Martel, : Ratio = Encours de la dette / CAF
Liste des maires [ modifier | modifier le code ]
Liste des maires successifs [ 61 ] Période Identité Étiquette Qualité 07.1790 Pierre Lachieze 07.1790 07.1791 Parry Laval (de) 07.1791 03.1792 Jean-baptiste Bories 03.1792 07.1793 Guillaume Tombelle 07.1793 10.1795 Delol 10.1795 03.1796 Léonard Judicis 03.1796 03.1797 Pierre Lachieze 03.1797 05.1800 Jean-baptiste Bories 05.1800 1814 Martin Puyjalon 01.1815 10.1824 Léonard Arliguie De Boutieres (d’) 10.1824 07.1827 Jean Labrunie-laprade 07.1827 09.1843 Pierre Figie 09.1843 01.1847 Guillaume Labrunie-laprade 01.1847 07.1852 François Lachieze 07.1852 1860 Guillaume Babrunie-laprade 1860 12.1870 Léonard Arliguie De Boutieres (d’) 12.1870 05.1871 François Lachieze 05.1871 06.1876 Léonard Arliguie De Boutieres (d’) 06.1876 1925 Albert Lachieze 1925 10.1929 Armand Bouat 1929 1935 Romain Belly 1935 1941 Henri Ramet Historien, président de la Cour d’Appel de Toulouse 1941 1944 Docteur Durieux 1er octobre 1944 18 novembre 1944 Prosper Duffaut 18 novembre 1944 5 janvier 1945 Alexandre Jarrige 8 janvier 1945 28 janvier 1945 Jean Gourdal MRP Directeur de la Banque de France de Toulouse 18 mai 1945 27 mars 1971 Mathieu Météyé UDR Notaire 27 mars 1971 1977 Alfred de Lachèze-Murel FNRI 29 mars 1977 8 avril 1986 Maurice Pélissier PCF Instituteur
Conseiller général du canton de Martel (1973-1985) 8 avril 1986 29 mars 2014 Jean-Claude Requier PRG Sénateur depuis 2011 29 mars 2014 26 mai 2020 José Santamarta PS Proviseur 26 mai 2020 En cours Raphaël Daubet MR Chirurgien dentiste, conseiller départemental depuis 2021
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[63].
En 2019, la commune comptait 1 625 habitants[Note 27], en diminution de 0,91 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Évolution de la population [ modifier ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 3 011 2 771 3 450 2 986 2 903 3 050 3 070 3 069 3 150 Évolution de la population [ modifier ] , suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 3 118 3 098 3 006 2 742 2 703 2 837 2 520 2 397 2 236 Évolution de la population [ modifier ] , suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 165 1 995 1 942 1 830 1 845 1 896 1 742 1 492 1 458 Évolution de la population [ modifier ] , suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 1 377 1 416 1 454 1 402 1 462 1 467 1 513 1 519 1 650 Évolution de la population [ modifier ] , suite (4) 2015 2019 – – – – – – – 1 601 1 625 – – – – – – –
(Sources : Ldh/ [ 64 ] puis [ 65 ] .) De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale (Sources : Ldh/ EHESS /Cassini jusqu’en 1999puis Insee à partir de 2006.)
Histogramme de l’évolution démographique
Au début du XXe siècle, Martel comptait 2 236 habitants[66].
L’économie y est marquée par :
Le tourisme et la gastronomie ;
L’agriculture et le commerce des produits du terroir ;
L’industrie, à travers la SOLEV, employant plus de 200 personnes ;
Une forte proportion de résidences secondaires.
Martel bénéficie de nombreux commerces et services.
Martel est de plus proche des bassins d’emploi de Brive (30 km ) et de Biars-Bretenoux (ANDROS), de l’autoroute A20 (7 km ) et de l’aéroport Brive-Vallée de la Dordogne (15 km ).
Martel bénéficie de l’implantation d’une usine de métallisation, la SOLEV. Son domaine d’activité concerne le vernissage et la finition pour des produits à haute valeur ajoutée : bouchons et flacons de parfums de luxe… Les techniques de traitement de surface suivantes y sont mises en œuvre : métallisation sous vide, vernissage, reprise laser, sublimation… Cette usine emploie plus de 250 personnes[67]. La SOLEV est la première Entreprise du patrimoine vivant de Martel, rejointe en 2021 par la SOCOBA, société spécialisée dans la restauration du patrimoine bâti (maçonnerie pierre, taille de pierre, charpente et couverture), faisant de Martel la ville la plus distinguée en la matière avec deux des quatre entreprises lotoises distinguées à cette date[68].
C’est aujourd’hui un centre actif du marché de la truffe, des noix et de l’artisanat des conserves.
Depuis juin 2022, Martel fait partie de l’association des Plus Beaux Villages de France[69].
La saison touristique est essentiellement concentrée de début juillet à la mi-août[réf. nécessaire].
Le chemin de fer touristique [ modifier | modifier le code ]
L’ancienne ligne de Souillac à Viescamp-sous-Jallès, près d’Aurillac, exploitée à partir de 1889-1891, permettait la liaison entre la Ligne de Brive-la-Gaillarde à Toulouse-Matabiau via Capdenac (1858-1864) et la ligne de Figeac à Arvant passant par Aurillac (1861-1868) et prolongeait la ligne de Siorac-en-Périgord à Cazoulès et Souillac mise en service en 1882 et 1884. C’est une portion de l’ancienne ligne reliant Bordeaux à Aurillac construite entre 1880 et 1884 et mise en service en 1889.
Cette ligne venait concurrencer le trafic des « gabares » de la Dordogne. Le train servait notamment à l’expédition des truffes du marché de Martel, l’un des plus importants de la région, d’où le nom de Truffadou. La partie Sarlat – Saint-Denis est inexploitée par la SNCF depuis 1980.
La liaison entre Souillac et Saint-Denis-lès-Martel est fermée en mai 1989 et déclassée en avril 1996 . Seuls la voie entre Saint-Denis-lès-Martel et Viescamp-sous-Jallès est en service pour relier Brive-la-Gaillarde à Aurillac.
La ligne de Chemin de fer touristique du Haut Quercy qui réalise la liaison Martel – Saint-Denis-lès-Martel a été remise en service en 1997 par une association de passionnés bénévoles[70].Un nouveau hall des voyageurs a été inauguré le 17 avril 2010 [71].
Une partie de cette ligne, taillée dans la falaise de Mirandol, surplombe la Dordogne.
94 419 personnes ont visité cette ligne en 2017[72].
Autres sites touristiques [ modifier | modifier le code ]
Reptiland propose de découvrir serpents, lézards et crocodiles du monde.
Le marché d’été ayant lieu sous la halle mercredi et samedi matin
Plages de rivière et canoë-kayak à Gluges, Copeyre, Meyronne, Saint-Sozy…
Lieux et monuments [ modifier | modifier le code ]
Place de la Halle [ modifier | modifier le code ]
Au détour des vieilles rues [ modifier | modifier le code ]
À proximité du village [ modifier | modifier le code ]
Avec les sites du belvédère de Copeyre, Briance, Creysse…
Liste des 7 tours [ modifier | modifier le code ]
Martel, la ville aux 7 tours (Lot)
D’autres tours et tourelles : vestiges de la Julianie ou tour des Pénitents, tourelles d’angle de la Raymondie, tour de l’hôtel de la monnaie, tourelle de l’hôtel de Briance rue Droite, tourelle rue Mercière, tour de la maison Lachièze Rey, tourelles Est de l’Eglise, pigeonniers…
Liste des monuments historiques [ modifier | modifier le code ]
Mobilier aux Monuments historiques [ modifier | modifier le code ]
Cheminées dans le palais de la Raymondie [ 93 ] .
. Bas-relief dans le palais de la Raymondie [ 94 ] .
Culture et éducation [ modifier | modifier le code ]
Martel possède une école de musique de statut associatif (Loi 1901).
L’Ensemble vocal de Martel, issu de cette école, a été dirigé par Patrick Hilliard, de 1990 à 1998, puis par Christophe Loiseleur des Longchamps, compositeur et chef de chœur, de 1998 à 2010. Deryck Webb, ténor lyrique, en a été le professeur de technique vocale. Depuis 2012, ce chœur est devenu l’Ensemble vocal du Pays de Martel, dirigé par Marie Briois jusqu’en 2018. Depuis 2021, la cheffe de chœur est Maïtine Bergounioux [ 95 ] .
Personnalités liées à la commune [ modifier | modifier le code ]
Personnalités nées à Martel [ modifier | modifier le code ]
Personnalités ayant vécu à Martel ou ayant marqué son histoire [ modifier | modifier le code ]
Blasonnement : [ 106 ] De gueules, à trois marteaux ou martels d’argent au manche d’or 2 et 1
Nassogne (Belgique) depuis 1967
Nassogne (Belgique) depuis 1967 Tequila (Mexique) depuis 2002
Notes et références [ modifier | modifier le code ]
Notes et cartes [ modifier | modifier le code ]
Notes
Cartes
Carte plan hotel village de Martel 46600
Les habitants de Martel se nomment les Martelais et les Martelaises.
La population de Martel en 2009 était de 1 615 habitants.
Le nombre moyen d’habitant par logement pour le village de Martel était en moyenne pour 2007 de 1,45 habitants par logements.
Voici l’historique de la population du village depuis 1968 :
– 1 615 habitants en 2009
– 1 538 habitants en 2007
– 1 464 habitants en 1999
– 1 462 habitants en 1990
– 1 402 habitants en 1982
– 1 454 habitants en 1975
– 1 416 habitants en 1968
Parallèlement, le nombre de logements était de :
– 1 061 hébergements en 2007
– 910 hébergements en 1999
– 875 hébergements en 1990
– 838 hébergements en 1982
– 719 hébergements en 1975
– 581 hébergements en 1968
Site officiel de la ville de MARTEL
> Superficie : 3 659 hectares > Altitude : 240 mètres > 1666 habitants, les Martelais > Membre de la Communauté
de Communes Causse-Vallée de la Dordogne CAUVALDOR.
> Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée > Département du Lot > Plus beaux villages de France > Grand Site Occitanie Sud de France > Site Remarquable du Goût de la Noix > Station Verte > Membre du PETR Figeac Quercy Vallée de la Dordogne Aller à Martel :
> en avion : Aéroport Vallée de la Dordogne > en train : SNCF (horaires et correspondances) > en voiture par l’autoroute A20 : sorties 53-54-55. Informations touristiques:
http://www.vallee-dordogne.com
Martel se situe au nord du Lot à 1h00 de Cahors, sa préfecture et à 30 minutes de Brive la Gaillarde sa voisine corrézienne. De son riche passé, Martel a conservé une silhouette agrémentée de 7 tours et de majestueux monuments. Il fait bon se laisser happer par ses rues étroites bordées de maisons anciennes. Martel fait l’objet d’un classement au titre du label “Plus beaux villages des France” depuis Juin 2022 : Cliquer sur le lien pour visionner le reportage TF1 “Plus beaux villages de France” La Mairie de Martel soucieuse de préserver son patrimoine culturel et architectural lance un appel au dons par le biais de la Fondation du Patrimoine en vue de permettre la restauration du presbytère troglodyte de Gluges : Cliquer sur le lien pour en savoir plus : Présentation du presbytère de Gluges Le 14 février 2018, Martel a fait l’objet d’une partie du reportage “Entre Lot et Dordogne” “Des racines et des ailes” :
à voir ici Martel est une commune touristique mais aussi attractive pour les j eunes actifs qui veulent perpétuer et moderniser les savoir-faire familiaux: Le 11 janvier 2019, un reportage au JT de France 3 présente 3 jeunes artisans ou acteurs de la vie économique à Martel :
à voir ici France 3 Pays de Corrèze a réalisé un reportage sur l’atelier de vitraux de Léo Amery :
à voir ici Ville de Martel jumelée avec Nassogne (Belgique) http://www.nassogne.be Téquila (Mexique)
http://www.tequila-martel.com
So you have finished reading the où se trouve le village de martel topic article, if you find this article useful, please share it. Thank you very much. See more: visiter martel, martel carte, martel lot, martel plus beau village de france, martel photos, cascade de martel, martel marché, restaurant martel